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Portfolio
Sample translations submitted: 4
English to French: Blog post Iddri.org (December 2020) General field: Bus/Financial Detailed field: Government / Politics
Source text - English Spain’s Recovery, Resilience and Transformation Plan: key challenges for implementation
On October 7th 2020, Prime Minister Pedro Sánchez presented the high-level headlines of Spain’s COVID-19 recovery plan. Spain’s plan has been welcomed as, a priori, it is aligned with the European Green Deal,1 with the Sustainable Development Goals—the emphasis on which is a distinctive feature compared to other recovery plans—and with the priorities of the upcoming and reinforced EU budget. However, there are several concerns about the execution of the plan.
Spain’s recovery plan adds up to the list of existing EU Member States’ recovery plans that put an emphasis on their alignment with the Green Deal. As emergency measures to safeguard the economy and employment are still a priority for many countries, the fact that the EU and its Member States are developing recovery plans is extremely important as they give a political signal and a mid- to long-term direction to short-term public financial interventions. Instead of a series of uncoordinated rescue measures, these plans open the possibility to assess their alignment with the high environmental and social ambition that is necessary to “build back better”. Analysing these plans is also fundamental to understand how these Member State level plans are synergistic, aligned with one another, and how they could be coordinated or even made more efficient by cooperation between Member States. In this context, IDDRI reaches out to its think tank partners in key Member States to be able to analyse their recovery plans, with two objectives: enabling the French political debate to be better informed on other Member States’ recovery plans, and contributing to a European level debate about their alignment. Hence the analysis of the German, French, and EU level recovery plans. In this perspective, this blogpost presents the analysis of the Spanish recovery plan by experts of the Real Instituto Elcano in Madrid.
1. EC (2020), The European Green Deal. Brussels, 11.12.2019 COM(2019) 640 final.
Spain is one of the EU countries that has been most severely affected by the pandemic, with 1,556,730 confirmed cases and 42,619 deaths as of November 23, 2020.2 The IMF’s October update of the World Economic Outlook expects Spain’s GDP to decrease by 12.8%3 in 2020. The unemployment rate in Spain was 16.26% in Q3 2020.4 The large weight of the tourism and service sectors in Spain’s economy, coupled with the high percentage of small and medium sized enterprises (SMEs) and high rate of temporary contracts are some of the key elements that explain Spain’s economic fallout vis-à-vis other EU countries.
Translation - French Plan de relance, de résilience et de transition de l’Espagne : les défis majeurs de sa mise en œuvre
Le 7 octobre 2020, le Premier ministre Pedro Sánchez a dévoilé les grandes lignes du plan de relance espagnol face à la pandémie de Covid-19. Ce plan a été bien accueilli car il est a priori aligné sur le Pacte vert européen1, sur les Objectifs de développement durable, une particularité du plan espagnol par rapport aux autres plans de relance, et sur les priorités du prochain budget renforcé de l'UE. Cependant, des questions se font jour quant à l'exécution concrète du plan.
Le plan de relance de l’Espagne s’ajoute à la liste des plans de relance existants des États membres de l’UE qui privilégient leur alignement sur le Pacte vert. Alors que les mesures d’urgence pour sauvegarder l’économie et l’emploi restent la priorité de nombreux pays, les plans de relance de l’UE et de ses États membres sont essentiels, car ils envoient un signal politique et donnent l’orientation à moyen et long terme des interventions financières publiques de court terme. En lieu et place d’une série de mesures de sauvetage non coordonnées, ces plans ouvrent la possibilité d’être d’évalués quant à leur alignement sur l’ambition environnementale et sociale élevée requise pour « reconstruire en mieux ». Il est également fondamental d’analyser ces plans au niveau de chaque État membre pour comprendre dans quelle mesure ils sont en synergie et harmonisés, et comment une coopération entre États membres pourrait les coordonner voire les rendre encore plus efficients. Dans ce contexte, l’Iddri s’adresse à ces partenaires think tanks dans les principaux États membres afin d’analyser leurs plans de relance, avec deux objectifs : permettre au débat politique français d’être mieux informé sur les plans des autres États membres et contribuer au débat européen sur leur alignement. D’où nos analyses des plans de relance allemand, français, et au niveau de l’UE. C’est dans cette perspective que ce billet de blog présente l’analyse du plan de relance de l’Espagne par des experts du Real Instituto Elcano de Madrid.
1. EC (2020), Le Pacte vert européen. Bruxelles, 11.12.2019 COM(2019) 640 final.
L'Espagne figure parmi les pays de l’UE les plus sévèrement touchés par la pandémie, avec 1 556 730 cas confirmés et 42 619 personnes décédées au 23 novembre 20202. En octobre dernier, la mise à jour des Perspectives de l’économie mondiale du FMI prévoyait un recul du PIB de l’Espagne de 12,8 %3 en 2020. Au 3e trimestre 2020, le taux de chômage était de 16,26 %4. Le poids important des secteurs du tourisme et des services dans l’économie espagnole, couplé à la forte proportion de petites et moyennes entreprises (PME) et au taux élevé de contrats temporaires, fait partie des éléments principaux expliquant les importantes répercussions économiques en Espagne par rapport aux autres pays de l’UE.
English to French: Artist biography (Centre des Arts Enghien-les-bains - Oct 2020) General field: Art/Literary Detailed field: Photography/Imaging (& Graphic Arts)
Source text - English The immaterial and intangible character of light, colour and motion forms the starting point of Nicky Assmann's [NL] spatial installations, in which she endeavours to heighten the perception. With a background in Film and ArtScience, she combines artistic, scientific and cinematographic knowledge in experiments that use physical and chemical processes. By implementing natural and optical phenomena she creates visual music compositions for an immersive and sensorial experience. The resulting visual, kinetic, and spatial compositions evoke sensory interference in self-created and often ephemeral macro-universes.
In the lineage of expanded cinema, Assmann experiments in her work with the different components of the cinematic apparatus. She creates her own screens with materials that range from iridescent soap films, heat-stained and chemically-treated copper sheets, to metal grids and kinetic transparent plates with moiré patterns. Her work takes shape in the form of kinetic light installations, video-installations and performances. Besides expanded cinema, her work is embedded in a context of visual music, synaesthesia and what Assmann calls ‘hypercolour’. The sun inspires her work in a perpetual quest for hypercolours – they are brought out by its light and occur both in nature and the digital colour spectrum. Hypercolours are characteristic for her work.
Translation - French La nature immatérielle et intangible de la lumière, de la couleur et du mouvement constitue le point de départ des installations spatiales de l’artiste néerlandaise Nicky Assmann avec lesquelles elle cherche à augmenter la perception. Forte de ses études en cinéma et en sciences artistiques, elle associe des connaissances artistiques, scientifiques et cinématographiques dans des expériences mêlant processus physiques et chimiques.
En reproduisant des phénomènes naturels et optiques, elle crée des compositions de musique visuelle qui offrent une expérience immersive et sensorielle. Sous la forme d’installations visuelles, cinétiques et spatiales, ses œuvres évoquent l’interférence des sens au sein de macro-univers autocréés et souvent éphémères.
Inscrivant sa pratique dans la lignée du cinéma élargi, Nicky Assmann expérimente tous les composants du dispositif cinématographique. Elle recrée ses propres écrans à base de divers matériaux tels que des films de savon irisés, des feuilles de cuivre traitées et teintées à la chaleur, des grilles métalliques ou encore des plaques transparentes cinétiques aux motifs moirés. Ses œuvres prennent la forme d’installations luminocinétiques, de vidéos et de spectacles audiovisuels. Outre le cinéma élargi, les œuvres de Nicky Assmann relèvent aussi de la musique visuelle, de la synesthésie et de ce qu’elle nomme « l’hypercouleur ». Le soleil se situe au cœur de sa quête perpétuelle de ces hypercouleurs qui sont produites par la lumière solaire et naissent à la fois dans la nature et dans le spectre numérique des couleurs. Les hypercouleurs sont la marque de fabrique de l’artiste.
English to French: E-book on marketing activities' ROI (dec 2020) General field: Bus/Financial Detailed field: Marketing
Source text - English (extract)
ROI Elevated
A Guide for Driving Global Marketing Outcomes in the New Normal
Marketing has a single purpose: inspire an action. That has always been the case, and it likely always will be. Whether marketers want to raise awareness about a new product, stir emotions over an environmental issue, entice a sale through a direct-to-consumer (DTC) campaign or any other myriad cases, they’re driving consumers to do something after they’ve been exposed to a campaign message.
But that’s only half the battle. The other half is knowing if the marketing initiative worked.
Inherently, all marketing initiatives are decked against driving revenue, but that doesn’t mean that every campaign or initiative is tasked with a bottom-funnel outcome. Before a brand has an opportunity to initiate a sales activation, for example, consumers need to be aware of a product or service, understand its merits and believe it’s worth the cost. So in that way, a marketer’s return on investment (ROI) will vary depending on what outcome they want to inspire.
What doesn’t vary is the need to measure and validate ROI. This isn’t a new need, but it is one that marketers can no longer side-step by simply saying, “The ad reached the audience we targeted, so we definitely achieved our goal.” Importantly, companies have always expected CMOs and marketing leaders to provide quantifiable results for their efforts. Today, however, the standards for quantifiable results are much higher, largely because brands and companies have access to technology and tools that are capable of providing them. That’s why it’s somewhat astounding that only one-in-four CMOs feel confident in their ROI measurement—a situation likely due to a reliance on rudimentary metrics like reach, click-through rates and page views.
Given marketers’ low confidence in their ROI measurement, it’s not surprising that Nielsen estimates, on average, brands can only measure ROI for less than half of their total media investment. That means they’re spending millions without knowing if they achieved their primary objectives (e.g., raised awareness, inspired a purchase, etc.).
In addition to the inherent challenges marketers face with respect to ROI measurement, 2020 has served up the biggest challenge of all: a global pandemic that has taken more than 1 million lives globally, altered every aspect of daily life, thwarted economies, stymied supply chains and shows no sign of dissipating in the short term. The impact to the global ad market this year has been significant, but research from IAB suggests that spending will increase in 2021.
At a more granular level, the pandemic has muted spending for many consumers and pulled the rug out from under global advertising budgets earlier this year. With the return of sports, some new fall TV programing and the re-opening of the U.S. after lockdown, advertising started to pick up in the second half of the year, with the IAB even forecasting that digital spending will be 6% higher than in 2019.
Despite that mild uptick, the current—and future—landscape remains unstable, which places an even greater emphasis on ROI validation. The World Economic Forum, for example, highlights year-over-year ad spend declines of 9% and 15% across Europe and China, respectively. So as companies hone their organizations and operations to stay nimble amid a fragile business environment, marketers will no longer get a free pass when it comes to justifying and validating their marketing initiatives. Welcome to the world of zero-based budgeting.
Getting Ahead of ROI Measurement Challenges
Mathematically, the formula for ROI is inherently simple. But as any marketer knows, the business of quantifying the impact of marketing spend is anything but straightforward. Lag time, messy data and attribution are just a few of the challenges that marketers face when trying to measure ROI.
Incomprehensive data for all investments can also lead to disastrous measurement results. If a marketer only looks at the impact of media spend, for example, the ROI results could be significantly incomplete. By not examining all sales drivers of a campaign, Nielsen has found that brands will have a 80% increased average error rate in forecasting ability. That leads to 47% inflated incremental outcomes and 68% misattributed ROIs.
The customer journey (and tracking it) isn’t always the problem. In some cases, the data and tools aren’t in the right hands at the right time. Said differently, some marketers are challenged because they don’t have access to the data in a democratized manner—one that allows them to begin incorporating ROI measurement into their budget and planning cycles.
Traditionally, different areas of a business were responsible for outcome measurement and planning. That needs to change. With advancing technology, marketers have an opportunity to use outcome data throughout the entire planning process instead of just for post-event evaluation. It’s also important for marketers to develop measurement strategies that normalize different returns, because not all returns are created equal.
The lack of standard metrics around the globe is problematic, as it means that organizations are valuing their initiatives differently. That effectively impedes the ability to arrive at standards that all businesses and marketers can agree on. Standardized metrics around the globe will allow marketers to do three things:
1. Compare ROIs across markets in a meaningful way. If a marketer in Australia, for example, has a completely different perspective than a colleague at the same company who is based in Canada, agreement on how to fine-tune their marketing goals as a single, unified brand will be challenging.
2. Close coverage gaps by leveraging a normalized dataset. If a marketer in the U.S. has great data but lacks insight into marketing activities in Japan, that marketer will need a way to compare performance for optimal planning.
3. Provide better benchmarking. In looking at data from Nielsen Compass, the ROI that brands generate for every $1 spent varies greatly around the globe. After normalizing the data, ROI varies widely around the world. Are you in the top or are you in the bottom? Without a normalized metric, making business decisions by comparing your profit ROI to a retail ROI can generate dramatically different results.
Translation - French
Le ROI dans la cour des grands
Un guide pour améliorer la performance des marques mondiales dans le monde d'après
L’objectif ultime du marketing est d’inciter à l’action. Il en a toujours été ainsi, et cela devrait continuer. Que ce soit pour développer la notoriété d’un nouveau produit, sensibiliser à la cause environnementale, encourager l’achat à travers une campagne DTC (distribution directe) ou pour tout autre cas de figure, le marketing incite les consommateurs à agir après les avoir exposés au message d’une campagne.
Mais cela représente la moitié du chemin seulement. L’autre moitié consiste à savoir si l’action menée a fonctionné.
Intrinsèquement, toutes les opérations marketing sont conçues pour développer le chiffre d’affaires, mais cela ne signifie pas que chaque campagne ou action individuelle doit générer un résultat visible à la sortie de l’entonnoir des ventes. En effet, avant qu’une marque puisse faire une promotion, il faut déjà que les consommateurs connaissent son produit ou son service, comprennent ses bénéfices et soient convaincus que la dépense en vaut la peine. Selon ce principe, le retour sur investissement (ROI) varie donc en fonction de l’objectif visé.
Ce qui ne varie pas en revanche, c’est le besoin de mesurer et de prouver le ROI. Ce besoin n’est pas nouveau, mais aujourd’hui les départements marketing ne peuvent plus se dérober en disant simplement : « La publicité ayant atteint la cible visée, nous avons parfaitement atteint notre objectif ». Plus généralement, les entreprises ont toujours demandé aux CMO (Chief Marketing Officers) et à leurs équipes de présenter les résultats chiffrés de leurs actions. Aujourd'hui cependant, les exigences en la matière sont beaucoup plus fortes, principalement parce que les marques et les entreprises disposent de la technologie et des outils capables de fournir ces résultats. Le constat que seulement un CMO sur quatre se déclare confiant dans sa capacité à mesurer son ROI est d’autant plus surprenant et probablement dû à une dépendance vis-à-vis d’indicateurs de mesure rudimentaires tels que la couverture (reach), le taux de clics et le nombre de vues par page.
Face à ce constat de méfiance des responsables marketing, pas étonnant que Nielsen estime qu’en moyenne, les marques ne parviennent à mesurer le ROI que pour moins de la moitié de leurs investissements médias. En d’autres termes, elles dépensent des millions sans savoir si elles atteignent leurs objectifs principaux (faire gagner de la notoriété, inciter à l’achat...).
Il y a les enjeux inhérents à la mesure du ROI que doit relever la fonction marketing. Et puis, il y a l’année 2020 qui représente le plus grand de tous les enjeux : une pandémie mondiale causant plus d’un million de morts dans le monde, modifiant tous les aspects de la vie quotidienne, perturbant les économies des pays, paralysant les chaînes d’approvisionnement et qui ne montre aucun signe de disparition à court terme. L’impact sur le marché publicitaire mondial a été important cette année, même si une étude de l’IAB prévoit que les dépenses augmenteront en 2021.
À plus petite échelle, la pandémie a freiné les dépenses de nombreux consommateurs et a coupé l’herbe sous le pied des annonceurs mondiaux au début de l’année. Avec le retour du sport, de nouveaux programmes TV à l’automne et le déconfinement des États-Unis, la publicité a recommencé à progresser au second semestre, l’IAB prévoyant même une hausse de 6 % des dépenses digitales par rapport à 2019.
Malgré cette légère hausse, le paysage actuel (et futur) reste instable, ce qui renforce encore la nécessité de mesurer le ROI. Le Forum économique mondial, par exemple, souligne le recul des dépenses publicitaires sur l’année à hauteur de 9 % en Europe et de 15 % en Chine. Ainsi, alors que les entreprises affûtent leurs organisations et leurs opérations pour rester agiles dans ce contexte économique fragile, les spécialistes du marketing ne pourront plus s’affranchir de la justification et de la validation de leurs actions. Bienvenue dans le monde des budgets base zéro.
Relever les défis de la mesure du ROI
Mathématiquement, la formule du ROI est très simple, mais tout bon responsable marketing sait que la quantification des effets d’une dépense marketing est tout sauf évidente. Temps de latence, données et attribution peu lisibles : ce sont juste quelques exemples des nombreuses difficultés rencontrées par les responsables marketing lorsqu’ils veulent mesurer le ROI.
Des données partielles sur certains investissements peuvent également donner des résultats fortement incorrects. Si un responsable marketing se focalise uniquement sur l’impact de ses dépenses média, par exemple, les résultats de ROI risquent d'être très incomplets. Nielsen a constaté que les marques qui ne considèrent qu’une partie des leviers d’une campagne, établissent des prévisions avec un taux d’erreur moyen de 80 % plus élevé. Cela se traduit par des ventes incrémentales surestimées de 47 % et un ROI mal attribué à 68 %.
Le parcours client (et son suivi) n’est pas toujours en cause. Dans certains cas, les données et les outils ne sont pas mis entre les bonnes mains au bon moment. Autrement dit, certains responsables marketing ont des difficultés parce qu’ils ont du mal à avoir accès aux données librement, et ne peuvent pas intégrer la mesure du ROI chaque année, dès la fixation annuelle du budget et du plan marketing.
Historiquement, la mesure de la performance et la planification étaient des responsabilités réparties dans différents départements de l’entreprise. Cela ne doit plus être le cas. Avec les nouvelles technologies, les responsables marketing peuvent utiliser les données de résultats tout au long du processus de planification et pas seulement pour faire des évaluations a posteriori. Il est aussi très important qu’ils élaborent des stratégies de mesure qui normalisent des rendements différents, car tous ne sont pas équivalents.
Du fait d’un manque d’indicateurs de mesure harmonisés au niveau mondial, les entreprises évaluent leurs actions différemment. Et dans les faits, cela empêche de parvenir à fixer des normes acceptées par l’ensemble des entreprises et des équipes marketing. Des indicateurs de mesure mondiaux harmonisés auraient trois bénéfices :
1. Possibilité de comparer les ROI de différents marchés de façon objective. En effet, si un chef de produit australien et son collègue canadien ont des avis totalement différents, il sera très compliqué pour eux de finaliser la fixation de leurs objectifs marketing pour le compte de leur marque unique et unifiée.
2. Possibilité de compenser les écarts de couverture en utilisant un ensemble de données normalisé. Comment un responsable marketing disposant de beaucoup de données aux États-Unis, mais de peu d’analyses sur le Japon, peut-il comparer les performances et optimiser la planification ?
3. Possibilité d’obtenir de meilleurs benchmarks. D’après les données de Nielsen Compass, le ROI généré par les marques pour chaque dollar dépensé varie considérablement dans le monde. Après normalisation des données, le ROI varie fortement à travers le monde. Êtes-vous classé dans les premiers ou dans les derniers ? Sans indicateurs de mesure normalisés, la prise de décisions sur la base d’une comparaison du ROI de vos bénéfices et du ROI de vos ventes peut mener à des conclusions très différentes.
English to French: Poster headlines - Electronic company (2020) General field: Bus/Financial Detailed field: Human Resources
Source text - English
A GREAT TEAM WILL ALWAYS BEAT A TEAM OF GREATS.
WHEN YOU DON’T KEEP YOUR WORD, YOU LOSE TRUST.
YOUR BEST TEACHER IS YOUR LAST MISTAKE.
LISTEN IN SUCH A WAY THAT OTHERS LOVE TO SPEAK TO YOU.
STANDING STILL IS THE FASTEST WAY OF MOVING BACKWARDS.
SEEING THE BEST IN OTHERS BRINGS OUT THE BEST IN YOURSELF.
Translation - French
LE RÉSULTAT COLLECTIF EST TOUJOURS SUPÉRIEUR À LA SOMME DES RÉSULTATS DES MEMBRES DE L’ÉQUIPE.
RESPECTEZ VOS ENGAGEMENTS SI VOUS VOULEZ ÊTRE DIGNE DE CONFIANCE.
ÉCHOUER EST L’UNE DES MEILLEURES OCCASIONS D’APPRENDRE.
SI VOUS SAVEZ LES ÉCOUTER, LES AUTRES AIMERONT VOUS PARLER.
L’IMMOBILITÉ EST LE MEILLEUR MOYEN DE RECULER.
EN VOYANT LE MEILLEUR CHEZ LES AUTRES, VOUS RÉVÉLEZ LE MEILLEUR DE VOUS-MÊME
English to French (Université de Strasbourg - Institut de Traducteurs, d’Interprètes et de Relations Internationales) French (Université de Strasbourg - Institut de Traducteurs, d’Interprètes et de Relations Internationales)
I am a certified translator helping Companies to communicate with French-speaking audiences. As a former Market research manager and Client service Director for 18 years, I have extensive experience working for international businesses especially in fields of Brand Marketing, Market Research, Sales, B2B services, and HR.
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