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French to Portuguese: L'Arquéologue et le mystère de Nefertiti (FR) - O Mistério de Nefertiti (PT)- Romance de Pierre Boulle General field: Art/Literary
Source text - French J’avais emporté une lampe à acétylène, en prévision d’un atterrissage imprévu et d’un campement de fortune. Je la sortis de l’avion et constatai qu’elle était intacte. Bientôt une vive lumière éclaira la salle. Du point central où nous étions arrêtés pour faire un tour d’horizon, je regardai timidement les squelettes et la potence, puis avec plus d’assurance après avoir constaté que le jugement de mon compagnon était correct. Le «pendu» était en réalité un long pendule, de forme grossièrement cylindrique, dont l’extrémité supérieure présentait un col pour fixer l’attache et figurait assez bien une tête. Le support se composait d’une longue tige verticale, haute de plus de deux mètres, terminée par une barre transversale à laquelle le pendule était accroché. Il n’était pas surprenant que cet échafaudage me fût apparu comme un gibet supportant le corps d’un être humain.
Tout était maintenant immobile et silencieux. J’aurais voulu examiner d’autres détails, mais mon compagnon, fidèle à son principe d’une rapide vue d’ensemble préalable, me supplia de ne rien toucher, et même de ne pas m’approcher de ces vestiges de peur d’en troubler quelque élément essentiel.
La lumière ne révéla pas d’autres merveilles. La forme du local se précisa. C’était celle d’une petite église, le pendule, au fond de la nef principale, occupant l’emplacement de l’autel. Le support était planté sur une large estrade, devant laquelle gisait le premier squelette. Les deux autres étaient un peu en retrait, symétriquement disposés par rapport à l’axe central.
- Un temple ? murmurai-je.
- Cela y ressemble, approuva l’archéologue, mais quel étrange dieu adoré en ce lieu ? Cette plateforme en briques, sur laquelle le squelette du centre est écroulé, ne peut être qu’une table d’offrandes. Et vous en voyez bien d’autres.
J’aperçus en effet plusieurs petites tables du même genre dans les nefs latérales, entre les colonnes. J’avais heurté l’une d’elles dans ma précipitation à fuir vers la lumière.
- J’y suis, dis-je.
Après une longue méditation intérieure, à laquelle m’avait incité sa prière de rester immobile, un coin du voile des ténèbres semblait se déchirer devant mes yeux.
-Vous y êtes ?
-Écoutez-moi : c’est un effroyable sacrifice humain, cette scène que nous avons surprise, miraculeusement conservée depuis trois mille ans. Ce squelette étendu sur une table d’offrandes ne peut être que la malheureuse victime…Et à qui pouvait être fait ce sacrifice ? Quel dieu pouvait symboliser cette étrange effigie qui lance des flammes et fait entendre de tels grondements ? Quel dieu, si ce n’est le tonnerre ? Comprenez-vous ? Qui dit tonnerre dit orage, pluie, eau ou encore inondation. Le Nil. N’avez-vous jamais entendu parler de ces périodes de sécheresse qui réduisaient à la famine la population de l’Égypte ? Un sacrifice humain pour appeler l’inondation bienfaisante, voilà ce que le hasard nous a fait découvrir.
-Monsieur, me dit l’archéologue, je dois d’abord vous féliciter pour votre ingéniosité, ensuite pour votre imagination.
-Je vous l’avais bien dit que je possédais un don…une certaine aptitude naturelle, mûrie par des lectures variées.
-Pourtant, je n’ai jamais entendu dire que les Égyptiens se livraient dans leurs temples à des sacrifices humains. Je me demande s’il n’y a pas en votre esprit une confusion avec certaines tribus indiennes.
-Cependant…
-Je n’ai jamais entendu parler, non plus, d’un dieu égyptien symbolisant le tonnerre, ni surtout d’une représentation aussi grossière. Peut-être, là aussi, votre connaissance des peuplades vraiment primitives interfère-t-elle fâcheusement avec d’autres souvenirs ? J’avoue, toutefois, que certains aspects de votre hypothèse sont à considérer. Mais ne formulons pas de conclusion hâtive. Il est temps de diriger nos pas vers les autres parties de ce souterrain.
Je le suivis, un peu mortifié. Nous gagnâmes le fond de la salle en longeant la muraille de droite. Il me fit remarquer, en passant, l’état des bas-reliefs. Aucune scène ne pouvait s’y lire, la plupart des sculptures ayant été grattées. Tous les personnages étaient défigurés. J’admirai quelques fleurs et quelques oiseaux, seules pièces restées intactes, qui lui avaient permis de reconnaitre l’art de l’époque amarnienne.
Parvenu au mur du fond, j’aperçus l’ouverture dont il m’avait annoncé l’existence. Un court et étroit passage s’amorçait là et débouchait dans une deuxième salle. L’archéologue marchait le premier et s’arrêta sur le seuil, élevant la lampe au-dessus de sa tête. Je me glissai à côté de lui. Avant de distinguer un seul détail, mon regard fut captivé par une série de constellations qui brillaient sur le sol.
J’étais si loin de m’attendre à cette scintillation, qui créait un décor des mille et une nuits, que j’en fus un moment aveuglé et n’en reconnus pas tout d’abord la nature, imaginant encore quelque phénomène surnaturel. Je m’aperçus enfin qu’elle était causée par les reflets de la lampe sur une multitude de petits objets brillants épars sur le sol. Mes yeux alors accoutumés à ce nouvel aspect imprévu d’un temple égyptien découvrirent peu à peu d’autres vestiges.
Je vis d’abord, au centre, une excavation, large mais pas assez profonde pour que son contenu fût dissimulé, et j’y distinguai la masse d’un sarcophage, certainement en pierre, car il paraissait admirablement conservé. Devant ce cercueil si typiquement égyptien, et qui ressuscitait mille souvenirs de mes visites dans les musées, je me sentis ému. Jusque-là, toutes les diableries n’avaient rien évoqué en moi ressemblant à ce sentiment religieux que donne la découverte d’un passé très ancien, et dont parlent tous ceux qui ont pénétré dans les temples inviolés d’une civilisation disparue. Peut-être était-ce justement parce que rien dans les fantastiques apparitions ne me rappelait un objet connu, admiré dans une collection ou décrit dans quelque récit, et que je ne pouvais m’enthousiasmer que pour des reliques familières. Là enfin, j’avais sous les yeux un sarcophage, un bon, un vrai, un authentique, un émouvant sarcophage du mystérieux empire des pharaons. Je sentis l’émotion m’étreindre et j’allais me précipiter dans le puits pour le toucher.
L’archéologue me retint par le bras et me montra du doigt, derrière le puits, une statuette peinte de vives couleurs, posée sur un socle de pierre. Elle représentait une femme, et cette femme, son nom jaillit de ma bouche entrouverte par la surprise. Tous ceux qui ont admiré les reproductions du célèbre buste de Berlin l’eussent reconnue comme moi. C’est une figure que l’on n’oublie pas lorsqu’on l’a contemplée. Le fameux œil blanc, qui surprend dans ce visage d’une merveilleuse beauté, lui donnait sous les rayons de notre lampe une physionomie pathétique et extraordinairement vivante.
- La reine Néfertiti ! m’écriai-je, sans pouvoir retenir mes larmes.
Translation - Portuguese Tinha trazido uma lanterna de acetileno, como prevenção em caso de uma aterragem de emergência e de termos de improvisar um acampamento. Retirei-a do avião e constatei que estava intacta. Pouco depois, uma luz viva iluminava a sala. Do local onde tínhamos parado par fazermos a análise da situação, olhei com timidez os esqueletos e a forca, agora com mais confiança ao verificar que o parecer do meu companheiro estava correcto. O “enforcado” era na realidade um longo pêndulo, com uma forma grosseiramente cilíndrica, cuja extremidade superior apresentava uma saliência para se fixar à suspensão, muito semelhante a uma cabeça. O suporte era formado por uma longa coluna vertical com mais de dois metros de altura, que terminava com uma barra transversal à qual o pêndulo estava agarrado. Não era surpreendente que esta estrutura me tivesse parecido um cadafalso, suportando o corpo de um ser humano.
Agora tudo estava imóvel e silencioso. Eu queria examinar outros pormenores, mas o meu companheiro, fiel ao princípio de um reconhecimento prévio do local, suplicou-me para não tocar em nada e até mesmo para não me aproximar desses vestígios, com medo de que se perdesse algum elemento essencial.
A luz não revelou outras maravilhas. A configuração da sala tornou-se clara. Tratava-se de uma pequena igreja, em que o pêndulo, ao fundo da nave principal, ocupava o lugar do altar. O suporte estava colocado sobre um estrado largo, diante do qual jazia o primeiro esqueleto. Os outros dois estavam um pouco mais atrás, simetricamente dispostos em relação ao eixo central.
- Um templo? – murmurei.
- Parece-se com isso – concordou o arqueólogo -, mas que estranho deus seria aqui adorado? Esta plataforma de tijolos, sobre a qual o esqueleto do meio está caído, só pode ser uma mesa de oferendas. E pode ver muitas outras.
Com efeito, distingui entre as colunas das naves laterais várias mesinhas do mesmo género. Na precipitação de fugir em busca da luz, tinha chocado com uma delas.
- Estou a ver – disse eu.
Após uma longa meditação interior, a que o seu conselho de permanecer imóvel me tinha incitado, uma ponta do véu de trevas parecia rasgar-se perante os meus olhos.
- Está a ver?
- Ouça-me: a cena que acabamos de surpreender é a de um assustador sacrifício humano, miraculosamente conservada há mais de três mil anos. O esqueleto deitado na mesa de oferendas só pode ser a infeliz vitima…E a quem poderia ser oferecido o sacrifício? Que deus podia simbolizar esta estranha imagem que lança chamas e emite rugidos? Que deus, senão o trovão? Compreende? Quem diz trovão, diz tempestade, chuva, água ou ainda inundação. O Nilo. Nunca ouviu falar dos períodos de seca que levavam à fome a população do Egipto? Um sacrifício humano para pedir a graça de uma inundação benéfica, eis o que o acaso nos fez descobrir.
- Meu caro – disse-me o arqueólogo -, antes de mais, devo felicitá-lo pelo seu talento e seguidamente pela sua imaginação.
- Já lhe tinha dito que possuía esse dom…
- Apesar disso, nunca li que os egípcios nos seus templos se entregavam a sacrifícios humanos. Pergunto-me se não estará a fazer confusão com algumas das tribos indianas.
- No entanto…
- Eu também nunca ouvi falar de um deus egípcio que simbolizasse o trovão, nem tão-pouco de uma representação tão cruel. Talvez, também aí, o seu conhecimento sobre as tribos primitivas interfira lamentavelmente com outros conhecimentos! Todavia, devo confessar que certos aspectos da sua teoria são de considerar. Mas não tiremos conclusões precipitadas. Está na altura de nos preocuparmos com as outras partes do subterrâneo.
Segui-o, um pouco mortificado. Chegámos ao fundo da sala seguindo ao longo da muralha da direita. Ao passar, chamava-me a atenção para o estado dos baixos-relevos. Não se conseguia ler nenhuma cena, a maior parte das esculturas tinha sido carcomida. Todas as personagens estavam desfiguradas. Admirei algumas flores e alguns pássaros, as únicas peças que tinham permanecido intactas e que lhe tinham permitido identificar a arte da época amarniana.
Tendo chegado à parede do fundo, reparei na abertura de que ele tinha falado. Uma passagem curta e estreita começava ali e desembocava numa segunda sala. O arqueólogo caminhava à frente e parou no limiar, erguendo a lanterna acima da cabeça. Coloquei-me ao seu lado. Antes de distinguir um único pormenor, uma série de constelações que brilhavam no chão chamou-me a atenção.
Estava tão longe de encontrar tal cintilação, que criava um cenário das mil e uma noites, que fiquei um pouco encadeado e não consegui perceber imediatamente a sua origem, imaginando tratar-se de mais um fenómeno sobrenatural. Enfim, percebi que o fenómeno era causado pelos reflexos da lanterna que incidiam sobre inúmeros objectos brilhantes dispersos pelo chão. Os meus olhos, então habituados a este novo aspecto inesperado num templo egípcio, descobriram pouco a pouco outros vestígios.
Vi primeiro, no centro, uma cova larga, mas não tão profunda que pudesse ocultar o seu conteúdo, e distingui o volume de um sarcófago, certamente em pedra, porque parecia bem conservado. Senti-me emocionado perante este caixão tão tipicamente egípcio que me recordava as visitas que tinha efectuado aos museus. Até aí, todas as peripécias não tinham suscitado em mim nada parecido com aquele sentimento religioso que é causado pela descoberta de um passado muito antigo e de que falam todos aqueles que entraram nos templos inviolados de uma civilização desaparecida. Talvez isso acontecesse porque nada, nas fantásticas aparições, me lembrava um objecto conhecido, admirado numa colecção ou descrito numa qualquer narrativa, e talvez só conseguisse entusiasmar-me com relíquias conhecidas. Finalmente, tinha sob os meus olhos um sarcófago, um real, um verdadeiro, um autêntico, um emocionante sarcófago do misterioso império dos faraós. Senti a emoção crescer e preparava-me para me debruçar sobre o poço e tocar-lhe.
O arqueólogo agarrou-me pelo braço e apontou o dedo. Atrás do poço, uma estatueta pintada de cores vivas, assente sobre uma base de pedra, representava uma mulher e essa mulher…o seu nome brotou da minha boca entreaberta pela surpresa. Todos aqueles que admiraram o célebre rosto de Berlim o teriam reconhecido como eu. É uma figura que nunca esquecemos depois de a termos contemplado. O famoso olho branco, surpreendente num rosto de uma beleza maravilhosa, conferia-lhe sob os raios da nossa lanterna uma fisionomia tocante e extraordinariamente viva.
- A rainha Nefertiti! – gritei, sem poder conter as lágrimas.
French to Portuguese: A competência global em ar comprimido General field: Tech/Engineering Detailed field: Electronics / Elect Eng
Source text - French La compétence globale en air comprimé
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Translation - Portuguese A competência global em ar comprimido
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English to Portuguese: Stone Soup General field: Art/Literary Detailed field: Poetry & Literature
Source text - English Stone Soup
A long time ago, in a village not too far from a stream, a kind-hearted soldier was trudging down a dusty lane. His movements were slow as he had been walking the whole day and would have loved nothing else but to eat a nice, hot meal. As he came across a quaint little house on the side of the road, he thought to himself, “the person who lives here must have some extra food to share with a hungry traveller like me; I think I’ll go and ask.”
And so, the soldier walked up the cobbled path towards the wooden door, past the cabbage and potato plants, past the onion plants and past the carrot shrubs. Once he reached the front of the house, he raised his hand up to knock when the door suddenly opened itself. On the other side stood an old man, his hands were placed on his hips and he held a frown on his face. “What do you want,” said the old man rudely.
And still the soldier smiled at him. “Hello there, I am a soldier from a village not too far. I have come to you to ask if you have any food you would be able to spare.”
The old man looked the soldier up and down and replied very bluntly, “No. Now go away.”
The soldier was not put off by this as he smiled once again and nodded his head. “I see, I am only asking so I will have a few more ingredients for my stone soup, but I guess I will have to have it plain. Just as tasty though!”
The old man scrunched up his eyebrows. “Stone soup?” he asked.
“Yes Sir,” the soldier replied, “now, if you’ll excuse me.”
The soldier walked to the middle of the path and hauled an iron cauldron from his cloak. Once he had filled it with water he began to build a fire under it. Then with great ceremony, he drew an ordinary-looking stone from a silk bag and gently dropped it into the water.
The old man watched all of this from his window, bewildered. “Stone soup?” he asked himself, “there is no such thing”. And after a while of watching the soldier stir the water with a small stick, the old man walked out and asked the soldier, “what are you doing?”
The soldier took a sniff of the steam coming out of his pot and licked his lips in anticipation, “ah, there’s nothing I like more than a tasty stone soup.” He then looked up at the old man, “of course, stone soup with a bit of salt and pepper is hard to beat.”
Hesitantly, the old man went inside and returned with salt and pepper, slowly handing it over to the soldier.
“Perfect!” cried the soldier as he sprinkled them into the pot. He stirred it once more before looking over to the old man again, “but you know, I once tasted this amazing stone soup with cabbage.”
The old man then approached his cabbage plant and picked the ripest cabbage, handing it to the soldier. “Oh how wonderful!” the soldier exclaimed as he chopped the cabbage up and dropped it into the pot.
He took a deep sniff of the pot and said to the old man, “you know, this would be a soup fit for a king with a few carrots.”
The old man said thoughtfully, “I think I can find some carrots” and he went over to his carrot shrub and picked a handful. The soldier was delighted when he was presented with the carrots; he chopped them up and stirred the pot once again.
And so it went on, the old man began to grow delighted at the smell from the pot as he brought onions, potatoes, and beef and so on. The soldier himself also added things like mushrooms and barley from his own bag, until he declared the soup was ready.
The old man smiled at the soldier when he offered half of the soup to him, “why don’t you come inside, I have some fresh bread bought straight from the bakery this morning that would taste delicious with the stone soup,” he said kindly.
And so, the old man and the soldier shared a wonderful meal together. The soldier brought out a carton of milk from his bag and together they shared that too. The old man agreed with the soldier, it was better than anything he had tasted before, and it wasn’t until the soldier had given him the silk bag containing the stone that the old man realised, it was never the stone that had created the delicious soup. But by working together and being generous, both he and the soldier had been able to create a scrumptious meal that they could share between them.
Translation - Portuguese Sopa da Pedra
Há muitos anos atrás, numa aldeia não muito longe de um ribeiro, um soldado bondoso caminhava com dificuldade por um caminho empoeirado. Os seus movimentos eram lentos, pois tinha andado o dia inteiro, e o que mais queria era comer uma boa refeição quente. Ao deparar-se com uma velha casinha na berma da estrada, pensou consigo mesmo: «A pessoa que aqui vive deve ter comida a mais, que possa partilhar com um viajante faminto como eu. Vou-lhe perguntar.»
E assim, o soldado dirigiu-se à porta de madeira pelo caminho empedrado, passando pela plantação de repolhos, de batatas, de cebolas e de cenouras. Quando chegou à frente da casa, levantou a mão para bater, mas a porta abriu-se de repente. Lá dentro estava um velho, com as mãos na cintura e uma cara carrancuda.
- O que é que quer? - disse o velho rudemente.
- Olá, sou um soldado de uma aldeia não muito longe daqui. Queria saber se tem alguma comida que me possa dar. – disse mesmo assim, o soldado sorrindo.
- Não. Agora saia daqui! – respondeu o velho sem rodeios, olhando o soldado de cima abaixo.
O soldado não se amedrontou, e sorrindo novamente cumprimentou-o, acenando com a cabeça.
- Compreendo. Só perguntei, pois gostaria de ter mais alguns ingredientes, para a minha sopa da pedra. Mas acho que vai ter de ficar simples, como está.
O velho franziu as sobrancelhas.
- Sopa da pedra? - perguntou.
- Sim, senhor. - respondeu o soldado -, e agora se me der licença.
O soldado foi até meio do caminho, e tirou um caldeirão de ferro, que trazia debaixo do seu capote. Depois de o encher com água, começou a fazer uma fogueira debaixo dele. Então, com grande cerimónia, tirou uma pedra comum de um saco de seda, e gentilmente deixou-a cair na água.
O velho observava perplexo tudo aquilo da janela.
- Sopa da pedra? - perguntou a si mesmo -, não existe tal coisa.
Depois de algum tempo, a ver o soldado a mexer a água com um pau, o velho saiu e perguntou ao soldado: - O que está a fazer?
O soldado cheirou o vapor que saía da panela, e em antecipação lambeu os lábios.
- Ah, não há nada melhor, do que uma saborosa sopa da pedra. – disse, olhando para o velho. - É claro, sopa da pedra com um pouco de sal e pimenta é difícil de superar.
Hesitante, o velho entrou e voltou com sal e pimenta, e vagarosamente entregou-os ao soldado.
- Perfeito! - gritou o soldado enquanto os adicionava na panela. Mexeu mais uma vez, antes de olhar novamente para o velho.
- Sabe?! Uma vez, provei esta fantástica sopa da pedra com repolho.
O velho, aproximou-se então da sua plantação, e escolheu o repolho já pronto a ser colhido, e deu-o ao soldado.
- Oh, que maravilha! - exclamou o soldado, cortando o repolho e adicionando-o à panela. O soldado cheirou profundamente o vapor que saía da panela, e disse ao velho: - Sabe, esta sopa seria digna de um rei se levasse algumas cenouras.
- Acho que consigo arranjar algumas cenouras. – disse o velho pensativamente. -, e foi até à plantação de cenouras, e apanhou um punhado delas. O soldado ficou encantado quando viu as cenouras; cortou-as, e mexeu a panela mais uma vez.
E assim continuou, o velho começou a ficar encantado com o cheiro da panela, à medida que trazia cebolas, batatas, carne de vaca, e muito mais. Até mesmo o soldado acrescentou mais ingredientes, como cogumelos e cevada, que tinha no seu saco, até que disse que a sopa estava pronta.
O velho sorriu para o soldado, quando este lhe ofereceu metade da sopa.
- Não quer entrar? Tenho pão fresco, que trouxe da padaria esta manhã, e que sabe muito bem com esta sopa da pedra. – disse, gentilmente.
E assim, o velho e o soldado partilharam juntos uma refeição maravilhosa. O soldado tirou um pacote de leite do seu saco e partilhou-o também. O velho concordou com o soldado, era a melhor coisa que tinha alguma vez saboreado. Só quando o soldado lhe deu a bolsa com a pedra, ele percebeu; não foi a pedra que tornara a sopa deliciosa. Porém, trabalhando em conjunto e sendo generosos, tanto ele como o soldado, tinham sido capazes de criar uma refeição deliciosa, que poderiam partilhar entre eles.
French to Portuguese: Casaco de tricô / Revista de Tricô General field: Other Detailed field: Textiles / Clothing / Fashion
Source text - French Veste 14
qualité coloris 34-36 (38-40) 42-44 (46-48) 50-52
laponie 012 Noir 6 pel 6 pel 7 pel 7 pel 8 pel
paquerette col 401 2 pel 2 pel 2 pel 2 pel 2 pel
nuance col 030 Anthracite 1 pel 1 pel 1 pel 1 pel 1 pel
COMPOSITION :
LAPONIE (55% Acrylique, 45% Laine)
PAQUERETTE (100% Polyester)
NUANCE (67% Acrylique, 19% Laine, 14% Polyamide)
FOURNITURES :
Aiguilles n° 7, crochet n°6 et 1 bouton.
ECHANTILLON :
Attention ! Contrôlez votre travail. Si vous tricotez trop serré, changez pour des aiguilles plus grosses et si vous tricotez trop lâche, changez pour des aiguilles plus fines.
–13 m et 16 rgs tric en JERSEY ENDROIT, en LAPONIE, aig n° 7 = 10 cm.
POINTS EMPLOYÉS:
*….* : répéter toujours de * à * si rien ne le contre-indique
POINT MOUSSE :
Rg 1 : tric ttes les m à l’end.
Rg 2 : tric ttes les m à l’end.
Répéter toujours ces 2 rgs
JERSEY ENDROIT aux aig n° 8 :
Rg 1 : (END du trav) tric toutes les m à l’end.
Rg 2 : (ENV du trav) tric toutes les m à l’env.
Répéter toujours ces 2 rgs
DIMINUTIONS APPARENTES SIMPLES à 2 m des bords sur l’endroit du trav: tric 2 m end, puis tric les 2 m suivantes ensemble à l’end, continuer le rg, lorsqu’il reste 4 m, faire un surjet simple (glisser 1 m, tric la m suivante à l’end, rab la m glissée sur la m tric), tric les 2 dernières m à l’end.
AUGMENTATION INTERCALAIRE tric le fil qui relie deux m entre-elles en le tordant sur lui-même.
MAILLE EN L’AIR : faire un jeté et le passer dans la boucle.
MAILLE COULÉE : piquer le crochet dans 1 m, ramener 1 boucle et la passer aussitôt à travers les 2 boucles se trouvant sur le crochet.
MAILLE SERRÉE : piquer le crochet dans une m, ramener 1 boucle, 1 jeté, tirer le fil à travers la boucle se trouvant sur le crochet.
EXPLICATIONS :
DOS :
-Monter 52 (58) 63 (69) 77 m, en Laponie, aux aig n° 7. Tric en jersey end.
-A 15 cm de ht, faire de chaque côté à 2 m des bords 1 x 1 augm inter. Puis, ts les 10 rgs 2 x 1 augm inter. On obtient 58 (64) 69 (75) 83 m.
-A 34 cm de ht, former les emman en rab de chaque côté ts les 2 rgs 2 x 2 m (1 x 3 m et 1 x 2 m) 1 x 3 m et 2 x 2 m (1 x 4 m, 1 x 3 m et 1 x 2 m) 1 x 4 m, 1 x 3 m et 2 x 2 m. Puis, faire à 2 m du bord ts les 2 rgs 2 x 1 dim (2 x 1 dim) 2 x 1 dim (2 x 1 dim) 3 x 1 dim. On obtient 48 (50) 51 (53) 55 m.
-A 52 (53) 54 (55) 56 cm de ht, former l’encol en rab les 10 (10) 11 (11) 11 m centrales. Puis continuer en tric un côté à la fois et rab côté encol, 2 rgs plus ht 1 x 5 m.
-Attention ! en même temps, former la pente d’épaule en rab côté emman, ts les 2 rgs 1 x 4 m et 2 x 5 m (3 x 5 m) 3 x 5 m (2 x 5 m et 1 x 6 m) 1 x 5 m et 2 x 6 m.
DEMI-DEVANT DROIT :
-Monter 18 (20) 23 (26) 30 m, en Laponie, aux aig n° 7. Tric en jersey end en augm côté droit, ts les 2 rgs 2 x 2 m, 3 x 1 m, puis ts les 4 rgs 2 x 1 m. On obtient 27 (29) 32 (35) 39 m. Continuer en tric tt droit.
-A 15 cm de ht, augm côté gauche, à 2 m du bord 1 x 1 m, puis ts les 10 rgs 2 x 1 m..
-Attention ! entre-temps, à 25 (26) 27 (28) 29 cm de ht, former l’encol en dim à droite à 2 m du bord 1 x 1 m. Puis, ts les 4 rgs 6 x 1 m et ts les 6 rgs 3 x 1 m (ts les 4 rgs 6 x 1 m et ts les 6 rgs 3 x 1 m) ts les 4 rgs 9 x 1 m et ts les 6 rgs 1 x 1 m (ts les 4 rgs 9 x 1 m et ts les 6 rgs 1 x 1 m) ts les 4 rgs 9 x 1 m et ts les 6 rgs 1 x 1 m.
-A 34 cm de ht, former l’emman en rab à gauche, ts les 2 rgs 2 x 2 m (1 x 3 m et 1 x 2 m) 1 x 3 m et 2 x 2 m (1 x 4 m, 1 x 3 m et 1 x 2 m) 1 x 4 m, 1 x 3 m et 2 x 2 m. Puis, faire à 2 m du bord, ts les 2 rgs 2 (2) 2 (2) 3 x 1 dim.
-A 52 (53) 54 (55) 56 cm de ht, former la pente d’épaule en rab côté gauche, ts les 2 rgs 1 x 4 m et 2 x 5 m (3 x 5 m) 3 x 5 m (2 x 5 m et 1 x 6 m) 1 x 5 m et 2 x 6 m.
-Tric un second demi-devant en inversant la gauche de la droite.
MANCHES :
-Monter 39 (42) 45 (51) 54 m, en Laponie, aux aig n° 7.
-Tric ainsi pour obtenir la bande de volants :
Rgs 1, 2, 4 et 5 : en Laponie, tric ttes les m à l’end.
Rg 3 : tric ttes les m à l’end mais alterner les qualités ainsi : 1 m lisière en Laponie, * 1 m en Paquerette, 2 m en Laponie* finir par 1 m en Paquerette et 1 m lisière en Laponie.
Rg 6 : tric ttes les m à l’env mais alterner les qualités ainsi : 1 m lisière en Laponie, * 1 m en Paquerette, 2 m en Laponie* finir par 1 m en Paquerette et 1 m lisière en Laponie.
Répeter ces 6 rgs 8 fois au total.
Puis, continuer en laponie en jersey end en répartissant sur le 1er rg 2 (1) 2 (0) 1 augm. On obtient 41 (43) 47 (51) 55 m.
-A 42 cm de ht tot, former la tête de manche en rab de chaque côté ts les 2 rgs 1 x 3 m et 1 x 2 m (1 x 3 m et 2 x 2 m) 1 x 3 m et 2 x 2 m (1 x 3 m et 3 x 2 m) 2 x 3 m et 2 x 2 m. Puis, faire à 2 m du bord ts les 2 rgs 2 x 1 dim, ts les 4 rgs 2 x 1 dim et ts les 2 rgs 2 x 1 dim (2 x 1 dim, ts les 4 rgs 2 x 1 dim et ts les 2 rgs 1 x 1 dim) 7 x 1 dim (5 x 1 dim) 5 x 1 dim. Puis, rab ts les 2 rgs 1 x 2 m et 1 x 3 m (1 x 2 m et 1 x 3 m) 1 x 2 m et 1 x 3 m (2 x 2 m et 1 x 3 m) 1 x 2 m et 2 x 3 m.
-A 57 cm de ht tot, rab les 9 m rstts.
Tric une seconde manche semblable.
COL :
–Monter 19 m, en Laponie, aux aig n°7.
Tric ainsi :
Rgs 1, 2, 4 et 5 : en Laponie, tric ttes les m à l’end.
Rg 3 : tric ttes les m à l’end mais alterner les qualités ainsi : 2 m lisière en Laponie, * 1 m en Paquerette, 2 m en Laponie* finir par 1 m en Paquerette et 1 m lisière en Laponie.
Rg 6 : tric ttes les m à l’env mais alterner les qualités ainsi : 1 m lisière en Laponie, * 1 m en Paquerette, 2 m en Laponie* finir par 1 m en Paquerette et 2 m lisière en Laponie.
Répeter ces 6 rgs 30 fois au total, puis rab en Laponie.
FINITIONS :
–Coudre les épaules.
–Coudre les manches au corps. Puis fermer les dessous de manches et les coutures de côtés.
-Coudre le col en veillant à ce que la couture soit bien dans le revers du col lorsqu’il est replié.
-Au crochet n°6, en Nuance, en partant du col faire sur le bord du devant droit, le bas du dos et le bord du devant gauche 1 rg de m coulées. Faire ensuite 1 rg de m serrées en faisant sous le col une boutonnière. Pour cette boutonnière, sauter 2 m coulées et faire 4 m en l’air.
-Coudre le bouton face à la boutonnière.
Translation - Portuguese CASACO 14
QUALIDADE COR 34-36 (38-40) 42-44 (46-48) 50-52
LAPONIA 012 Preto 6 nov 6 nov 7 nov 7 nov 8 nov
PAQUERETTE cor 401 2 nov 2 nov 2 nov 2 nov 2 nov
NUANCE cor 030 Antracite 1 nov 1 nov 1 nov 1 nov 1 nov
COMPOSIÇÃO:
Fio LAPONIA (55% Acrilico, 45% Lã)
Fio PAQUERETTE (100% Poliester)
Fio NUANCE (67% Acrilico, 19% Lã, 14% Poliamida)
MATERIAL:
Agulhas de tricô nº 7, agulhas de crochê nº6 e 1 botão
AMOSTRA:
Atenção! Verifique o trabalho. Se a malha estiver muito apertada, utilise agulhas mais grossas e se a malha estiver muito larga, mude para agulhas mais finas.
- 13m e 16 carr em PONTO JERSEY DE MEIA , em LAPONIA, ag nº 7 = 10 cm.
PONTOS EMPREGUES:
*….* : repetir sempre de * a * se não houver contra-indicação.
PONTO DE JARRETEIRA:
Carr 1 : tric todas as m em meia
Carr 2 : tric todas as m em meia
Repetir sempre as 2 carr
PONTO JERSEY DE MEIA use ag nº 8 :
Carr 1 : (DIR do trabalho) tric todas as m em ponto meia
Carr 2 : (AV do trabalho) tric todas as m em ponto liga
Repetir sempre as 2 carr
DIMINUIÇÕES IGUAIS SIMPLES a 2 m das bordas no lado direito do trab: tric 2 m como meia, em seguida tric as 2 m seguintes juntas como meia, continue a carr, até restarem 4 m, faça um mate simples (passe 1 m, tric a m seguinte como meia, rem a m que passou sobre a m tric), tric as 2 últimas m como meia.
AUMENTO INTERCALAR tric o fio que liga as duas m sobrepondo-as.
PONTO CADEIA: faça uma laçada e passe-a por dentro da argola.
MEIO PONTO: enfie a ag de crochê em 1 m, levante 1 argola através do ponto, puxe a laçada por dentro das laçadas que estão na agulha.
PONTO BAIXO: enfiar a ag de crochê numa malha, levantar 1 laçada, 1 laçada, puxe o fio por dentro da laçada que está na agulha.
EXPLICAÇÕES:
COSTAS:
-Monte 52 (58) 63 (69) 77 m, em Laponie, use ag n° 7. Tric em ponto jersey de meia
- A 15 cm de alt, faça de ambos os lados a 2 m 1 x 1 aum inter. A seguir, todas as 10 carr 2 x 1 aum inter. Vai obter 58 (64) 69 (75) 83 m.
-A 34 cm de alt, forme as cavas rem de cada lado todas as 2 carrs 2 x 2 m (1 x 3 m e 1 x 2 m) 1 x 3 m e 2 x 2 m (1 x 4 m, 1 x 3 m e 1 x 2 m) 1 x 4 m, 1 x 3 m e 2 x 2 m. A seguir, faça a 2 m da borda todas as 2 carrs 2 x 1 dim (2 x 1 dim) 2 x 1 dim (2 x 1 dim) 3 x 1 dim. Vai obter 48 (50) 51 (53) 55 m.
-A 52 (53) 54 (55) 56 cm de alt, forme o decote rem as 10 (10) 11 (11) 11 m centrais. Seguidamente continue a tric um lado de cada vez, rem o decote, 2 carrs mais alt 1 x 5 m.
-Atenção! Ao mesmo tempo faça a inclinação para os ombros rem ao lado as cavas, todas as 2 carrs 1 x 4 m e 2 x 5 m (3 x 5 m) 3 x 5 m (2 x 5 m e 1 x 6 m) 1 x 5 m e 2 x 6 m.
FRENTE DIREITA:
-Monte 18 (20) 23 (26) 30 m, em Laponia, use ag n° 7. Tric em ponto jersey de meia, todas as 2 carrs 2 x 2 m, 3 x 1 m, e em seguida todas as 4 carrs 2 x 1 m. Vai obter 27 (29) 32 (35) 39 m. Continue a tric tt dir.
-A 15 cm de alt, aum lado esquerdo, a 2 m da borda 1 x 1 m, em seguida todas as 10 carrs 2 x 1 m..
-Atenção! Ao mesmo tempo, a 25 (26) 27 (28) 29 cm de alt, forme o decote dim a dir a 2 m da borda 1 x 1 m. Em seguida, ts as 4 carrs 6 x 1 m e ts as 6 carrs 3 x 1 m (ts as 4 carrs 6 x 1 m e ts as 6 carrs 3 x 1 m) ts as 4 carrs 9 x 1 m e ts as 6 carrs 1 x 1 m (ts as 4 carrs 9 x 1 m e ts as 6 carrs 1 x 1 m) ts as 4 carrs 9 x 1 m e ts as 6 carrs 1 x 1 m.
-A 34 cm de alt, forme as cavas rem à esquerda, ts as 2 carrs 2 x 2 m (1 x 3 m e 1 x 2 m) 1 x 3 m e 2 x 2 m (1 x 4 m, 1 x 3 m e 1 x 2 m) 1 x 4 m, 1 x 3 m e 2 x 2 m. Em seguida, faça a 2 m da borda, ts as 2 carrs 2 (2) 2 (2) 3 x 1 dim.
-A 52 (53) 54 (55) 56 cm de alt, forme os ombros rem do lado esquerdo, ts les 2 carrs 1 x 4 m e 2 x 5 m (3 x 5 m) 3 x 5 m (2 x 5 m e 1 x 6 m) 1 x 5 m e 2 x 6 m.
- Tric a segunda frente invertendo a esquerda pela direita.
MANGAS:
-Monte 39 (42) 45 (51) 54 m, em Laponia, use ag n° 7.
-Tric de forma a obter a barra de folhos:
Crrs 1, 2, 4 e 5: em Laponia, tric tds as m como meia.
Carr 3: tric todas as m como meia alternando as qualidades assim: 1 m de ourela em Lapónia, * 1 m em Paquerette, 2 m em Laponia* termine com 1 m em Paquerette e 1 m de ourela em Lapónia.
Carr 6: tric todas as m como meia alternando as qualidades assim: 1 m de ourela em Lapónia, * 1 m em Paquerette, 2 m em Laponia* termine com 1 m em Paquerette e 1 m de ourela em Lapónia.
Repita as 6 carrs num total de 8 vezes
Em seguida, continue em Lapónia em ponto jersey de meia repartindo na 1ª carr 2 (1) 2 (0) 1 aum. Vai obter 41 (43) 47 (51) 55 m.
-A 42 cm de alt tot, forme o cabeção da manga rem de cada lado ts as 2 carrs 1 x 3 m e 1 x 2 m (1 x 3 m e 2 x 2 m) 1 x 3 m e 2 x 2 m (1 x 3 m e 3 x 2 m) 2 x 3 m e 2 x 2 m. Em seguida, faça a 2 m da borda ts as 2 carrs 2 x 1 dim, ts as 4 carrs 2 x 1 dim e ts as 2 carrs 2 x 1 dim (2 x 1 dim, ts as 4 carrs 2 x 1 dim e ts as 2 carrs 1 x 1 dim) 7 x 1 dim (5 x 1 dim) 5 x 1 dim. Em seguida, rem ts as 2 carrs 1 x 2 m e 1 x 3 m (1 x 2 m e 1 x 3 m) 1 x 2 m e 1 x 3 m (2 x 2 m e 1 x 3 m) 1 x 2 m e 2 x 3 m.
-A 57 cm de alt tot, rem as 9 m rstts.
Tric a outra manga da mesma forma.
DECOTE :
–Monte 19 m, em Laponia, use ag n°7.
Tric assim:
Crrs 1, 2, 4 e 5: em Laponia, tric tds as m como meia.
Carr 3: tric todas as m como meia alternando as qualidades assim: 2 m de ourela em Lapónia, * 1 m em Paquerette, 2 m em Laponia* termine com 1 m em Paquerette e 1 m de ourela em Laponia.
Carr 6: tric todas as m como meia alternando as qualidades assim: 1 m de ourela em Laponia, * 1 m em Paquerette, 2 m em Laponia* termine com 1 m em Paquerette e 2 m de ourela em Laponia.
Repetir as 6 carrs num total de 30 vezes, e em seguida rem em Laponia.
ACABAMENTOS:
-Cosa os ombros.
-Cosa as mangas ao corpo. Depois feche a parte inferior das mangas e as costuras dos lados.
-Cosa o decote de modo a que a costura fique no avesso do decote quando estiver dobrado.
- Com agulha de crochê nº6, em Nuance, e partindo do decote faça na borda da frente direita, na parte detrás e na borda da frente esquerda 1 carr de m em meio ponto. Faça seguidamente 1 carr de m em ponto baixo, fazendo uma casa no decote para o botão. Para a casa, salte 2 m de meio ponto e faça 4 m em ponto cadeia.
-Cosa o botão diante da casa.
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Translation education
Graduate diploma - Universidade Lusófona de Humanidades e Tecnologias/ Universidade Autónoma de Lisboa
Experience
Years of experience: 32. Registered at ProZ.com: Aug 2017.
French to Portuguese (Universidade Lusófona de Humanidades e Tecnologias) English to Portuguese (Universidade Lusófona de Humanidades e Tecnologias) French to Portuguese (Alliance Française de Lisbonne) English to Portuguese (Universidade Autónoma de Lisboa )
Memberships
N/A
Software
Adobe Acrobat, memoQ, MemSource Cloud, Microsoft Excel, Microsoft Word, Spot Subtitling Software 6, Powerpoint, Trados Studio
It all began in High School with “Introduction to
journalism and tourism” one of the curricular choices, that included translation.
Since then, I never stopped translating. I’m
Portuguese, so I translate from French/English to Portuguese.
I worked as a translator in an Export and Import
Company for several years, and to others in areas as cosmetic and consulting.
I’ve a degree in Translation and Interpretation
Studies (Universidade Lusófona de Humanidades e Tecnologias), and more recently
a postgraduation also in Translation Studies (Universidade Autónoma de Lisboa),
which includes Literary and Technical Translation.
I translated a novel from French-Portuguese,
L’Arquéologue et le Mystère de Nefertiti, by the French author Pierre
Boulle, Pergaminho Book Publisher.
I took part in the updating of Grande Enciclopédia
Portuguesa e Brasileira, Ciências e Tecnologias (Sciences and Tecnologies),
translated from English-Portuguese, tomo 8, 9 and 10.
I also translated from English-Portuguese, 2 books of
children activities, Fairy tale things to make and do, “As minhas
actividades…de contos de Fadas”, and Christmas fairy things to make and do, “As
minhas actividades…para o Natal”, published by Marina Editores, Lda.
Café Lowendal, by Tatiana de Rosnay, a short story
included in the same book, from French-Portuguese, for Universidade Autónoma de
Lisboa (UAL).
I’ m a volunteer at KIDSOUT UK, a non-profit organization that helps children improving their literacy, by translating and proof-reading world stories for them.