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French to English: Blame recurring financial crises on the political temptations of deregulation General field: Bus/Financial Detailed field: Economics
Source text - French For a phenomenon with such predictably bad outcomes, a financial boom is strangely seductive. Not a decade after the most serious financial crisis since the Depression, the world watch soaring markets with a mixture of serenity and glee. Natural impulses make finance a neck-snappingly volatile affair. Governments, though, deserve heaps of blame for policies that amplify both boom and bust. As regulators begin picking apart reforms only just enacted, it is worth asking why this is so.
Finance is hopelessly prone to wild cycles. When an economy is purring, profits go up, as do assets values. Rising asset prices flatter borrowers’ creditworthiness. When credit is easier to obtain, spending goes up and the boom intensifies. Eventually perceptions of risk shift, and tales of a ‘’new normal’’ gain credence: new technologies mean profits can grow for ever, or financial innovation makes credit risk a thing of the past. But when the mood turns, the feedback loop reverses direction. As assets prices fall, banks grow stingier with their loans. Firms feel the pinch from falling sales, get behind on their debts and sack workers, who get behind on theirs. The desperate sell what they can, so assets prices crash and tumble, worsening the crash. Mania turns to panic.
The pattern is an ancient one. In their book ‘This Time is Different’, Carmen Reinhart and Kenneth Rogoff, two economists, point out that eight centuries off financial pratfalls have not persuaded investors to treat financial booms with the requisite caution. You might expect Joe Daytrader to succumb to the lure of financial excess, the chronically poor response of governments is more perplexing. Regulators could dampen frenzies by asking banks to raise their equity-to-assets ratios or to tighten lending standards. Regulation could be ‘’countercyclical’’, in other words, prepare financial institutions for bad times, and leave more rooms for leniency when the economy is on the ropes. Governments have got better at learning turns in business cycles, so recessions are less common and less severe than they once were. It seems weird that finance should be different.
Source: The Economist January 27th 2018
Translation - English Une croissance financière est moins attrayante quand elle entraine des résultats négatifs nettement prévisibles. Pas plus d’une décennie après la crise financière la plus sérieuse depuis la Dépression, le Monde assiste à un marché en flèche avec un double sentiment de sérénité et de joie. Les impulses naturelles font de la finance une affaire volatile qui vous prend au cou. Les gouvernements sont donc à blâmer pour les mesures qui tendent à amplifier les cycles d’expansion et de contraction. Puisque les régulateurs commencent à défaire les réformes à peine adoptées, il faut se demander pourquoi?
La finance est sujette à des cycles sauvages. Quand une économie est en marche, les profits croitront, de même que les biens. L’augmentation du prix des biens supplante la solvabilité des emprunteurs. Lorsque le crédit est facilité, les dépenses augmentent et stimulent davantage l’essor économique. Eventuellement, les perceptions du risque changent et les bruits d’une ‘’nouvelle norme’’ gagnent en crédibilité : nouvelles technologies signifient que les profits augmenteront toujours, ou encore, les innovations financières font du risque lié au crédit un phénomène du passé. Cependant, lorsque le ton change, les réactions changent complètement. Des que le prix des biens baisse, les banques deviennent plus méticuleuses au sujet des prêts. Les entreprises ressentent les pincements dus à la baisse des vente, deviennent en retard sur leurs dettes et, renvoient des employés qui, à leur tour, accumulent des arriérés dans leurs prêts. Ceux qui sont désespérés, vendent ce qu’ils peuvent, ainsi, les prix des biens chutent, aggravant ainsi la situation. La frénésie tourne en panique.
Le schéma est assez ancien. Dans leur livre ’Ces Temps sont Différents’, Carmen Reinhardt and Kennett Rogoff, deux économistes, indiquent que huit siècles d’instabilités financières n’ont pas pu convaincre les investisseurs d’aborder l’essor économique avec la prudence requise. On peut s’attendre à ce que Joe Daytrader soit leurré par les attraits de l’excès financier, mais, les solutions médiocres et persistantes des gouvernements sont encore plus inquiétantes.
Les régulateurs pouvaient atténuer l’euphorie en demandant aux banques d’augmenter le ratio capital par rapport à actifs, ou encore, renforcer les conditions de prêts. Ces mesures pouvaient être ’’anticycliques’’, c’est-à-dire, aller à contre courant d’un cycle normal financier afin de limiter les excès, préparer les institutions financières à faire face aux situations difficiles et, laisser plus de manœuvres lorsque l’économie est sous pression. Les gouvernements doivent pouvoir mieux contrer les mouvements de cycles économiques, ainsi, les récessions seront moins fréquentes et sévères que par le passé. Cela parait étrange que les finances soient différentes.
Source : The Economiste du 27 Janvier 2018
French to English: OBTENIR DES INFORMATIONS DE PLACEMENTS General field: Bus/Financial Detailed field: Investment / Securities
Source text - French L’information est à la base des décisions d’investissement et, habituellement, l’individu en obtient très peu. Il y a deux types d’information qui sont indispensables-les informations de base qui fournissent un cadre de référence pour vos décisions d’investissement, et les données actuelles concernant l’économie en général, les principales industries, et les entreprises individuelles. Ce livre fournit la plus part des informations dont vous aurez besoin. Quel volume d’information vous est nécessaire-dépend évidemment de votre situation financière, vos objectifs d’investissement, et le degré d’ambition d’être votre propre gestionnaire de placements. Un investisseur autonome et agressif, qui est a la recherche d’actions peu connues et sous-évaluées, a besoin davantage de sources d’information qu’un investisseur conservateur enquête de revenus élevés. Rappelez-vous que la lecture occasionnelle de magazine a caractère général et léger est plus susceptible de causer la confusion plutôt que d’éclairer. Vos recherches d’information devraient se concentrer sur des sources relevant de vos besoins uniques.
Un fort volume d’informations est disponible gratuitement-beaucoup plus que les gens en pensent. La liste inclut les recherches menées par les maisons de courtage, les rapports annuels des compagnies, les bulletins publiés par certaines importantes banques. Tout d’abord, j’aborderai la meilleure manière de tirer le maximum de ce livre, puis, j’examinerai les sources d’information et, je vous aviserai de celles pour lesquelles vous aurez à payer-moyennant une déduction de taxes malheureusement. Les souscriptions aux publications financières et les services de conseils d’investissements sont déductibles de taxes, pourvu que vos déclarations d’impôts prouvent que vous êtes détenteur de placements.
Translation - English Information is the raw material out of which investment decisions are shaped, and the individual investor usually gets too little of it. Two kinds of information are indispensable-background information that provides you with a frame of reference for your investment decisions, and up-to-date information about the economy, the major industries, and individual companies. Much of the information you are likely to need is provided in this book. How much current information you require-and how much you should spend on it-depend of course on your financial situation, your investment objectives, and the extent to which you wish to be your own investment manager. An aggressive do-it-yourself investor who’s hunting for neglected, undervalued stocks obviously needs more sources of information than a conservative investor whose goal is high income. Keep in mind that unfocused, intermittent perusal of a welter of investment publications is more likely to create confusion than to bring enlightenment. Your information-gathering should be concentrated on sources closely related to your individual requirements.
A great deal of information is available free of charge-far more than people realize. It includes brokerage-house research, company annual reports, and economic and financial publications issued by some of the leading banks. I’ll first discuss how to make the most of this material, and then I’ll review selected sources of information and advice that you have to pay for-but unfortunately with tax-deductible dollars. Subscriptions to financial publications and investments advisory services are a tax-deductible business expense, provided your tax return shows that you have investments.
French to English: ANALYTICAL TOOLS FOR FINANCIAL STATEMENTS General field: Bus/Financial Detailed field: Accounting
Source text - French Many analysts have found five basics ratios to be of considerable assistance in the analysis of most statements. Internal comparison has also proved to be very useful to the analysts.
There are instances in which even the five basics ratios have no significance, but generally they are of value. Some analysts compute these basic ratios on all statements, and they compute other relationships whenever the computations seem justified. The five ratios that may be considered basic in analysis work are (1) the current ratio, (2) the debt to worth ratio, (3) the sales to receivables ratio, (4) the sales to inventory ratio, and (5) the profits to worth ratio.
Quantitative, Qualitative, and Profitability Ratios
The current ratio and the debt to worth ratio are quantitative ratios. The current ratio indicates the quantity coverage of current assets over the current or more pressing liabilities; the debt to worth ratio reflects the relationship of the creditors’ equities to the owners’ equities in the business. Many analysts feel that these are the two most important ratios in many statements, but it is conceivable that these ratios have little significance in many of the statements.
Two of the basic ratios, sales to receivables and sales to inventory, are qualitative ratios. The term qualitative is used descriptively and should not be taken too literally. The sales to receivables ratio and the sales to inventory do reflect upon the quality of the trading assets, but the ratios should never be taken as final proof of the quality of receivables and inventory. They should be used simply as indicators reflecting upon the quality. Further tests must be made to determine the condition and value of these important current assets.
The profit to worth ratio is a profitability ratio. It indicates a company’s ability to produce earnings and hence is indicative of its vitality. This ratio likewise should not be taken too literally. It can be distorted by many factors. Furthermore, good earnings can be offset by too liberal policy.
Each ratio must be considered in relation to the other ratios. A balancing of the importance of each independently and of all jointly should be made in every ratio analysis.
Many analysts have found five basics ratios to be of considerable assistance in the analysis of most statements. Internal comparison has also proved to be very useful to the analysts.
There are instances in which even the five basics ratios have no significance, but generally they are of value. Some analysts compute these basic ratios on all statements, and they compute other relationships whenever the computations seem justified. The five ratios that may be considered basic in analysis work are (1) the current ratio, (2) the debt to worth ratio, (3) the sales to receivables ratio, (4) the sales to inventory ratio, and (5) the profits to worth ratio.
Quantitative, Qualitative, and Profitability Ratios
The current ratio and the debt to worth ratio are quantitative ratios. The current ratio indicates the quantity coverage of current assets over the current or more pressing liabilities; the debt to worth ratio reflects the relationship of the creditors’ equities to the owners’ equities in the business. Many analysts feel that these are the two most important ratios in many statements, but it is conceivable that these ratios have little significance in many of the statements.
Two of the basic ratios, sales to receivables and sales to inventory, are qualitative ratios. The term qualitative is used descriptively and should not be taken too literally. The sales to receivables ratio and the sales to inventory do reflect upon the quality of the trading assets, but the ratios should never be taken as final proof of the quality of receivables and inventory. They should be used simply as indicators reflecting upon the quality. Further tests must be made to determine the condition and value of these important current assets.
The profit to worth ratio is a profitability ratio. It indicates a company’s ability to produce earnings and hence is indicative of its vitality. This ratio likewise should not be taken too literally. It can be distorted by many factors. Furthermore, good earnings can be offset by too liberal policy.
Each ratio must be considered in relation to the other ratios. A balancing of the importance of each independently and of all jointly should be made in every ratio analysis.
Many analysts have found five basics ratios to be of considerable assistance in the analysis of most statements. Internal comparison has also proved to be very useful to the analysts.
There are instances in which even the five basics ratios have no significance, but generally they are of value. Some analysts compute these basic ratios on all statements, and they compute other relationships whenever the computations seem justified. The five ratios that may be considered basic in analysis work are (1) the current ratio, (2) the debt to worth ratio, (3) the sales to receivables ratio, (4) the sales to inventory ratio, and (5) the profits to worth ratio.
Quantitative, Qualitative, and Profitability Ratios
The current ratio and the debt to worth ratio are quantitative ratios. The current ratio indicates the quantity coverage of current assets over the current or more pressing liabilities; the debt to worth ratio reflects the relationship of the creditors’ equities to the owners’ equities in the business. Many analysts feel that these are the two most important ratios in many statements, but it is conceivable that these ratios have little significance in many of the statements.
Two of the basic ratios, sales to receivables and sales to inventory, are qualitative ratios. The term qualitative is used descriptively and should not be taken too literally. The sales to receivables ratio and the sales to inventory do reflect upon the quality of the trading assets, but the ratios should never be taken as final proof of the quality of receivables and inventory. They should be used simply as indicators reflecting upon the quality. Further tests must be made to determine the condition and value of these important current assets.
The profit to worth ratio is a profitability ratio. It indicates a company’s ability to produce earnings and hence is indicative of its vitality. This ratio likewise should not be taken too literally. It can be distorted by many factors. Furthermore, good earnings can be offset by too liberal policy.
Each ratio must be considered in relation to the other ratios. A balancing of the importance of each independently and of all jointly should be made in every ratio analysis.
Many analysts have found five basics ratios to be of considerable assistance in the analysis of most statements. Internal comparison has also proved to be very useful to the analysts.
There are instances in which even the five basics ratios have no significance, but generally they are of value. Some analysts compute these basic ratios on all statements, and they compute other relationships whenever the computations seem justified. The five ratios that may be considered basic in analysis work are (1) the current ratio, (2) the debt to worth ratio, (3) the sales to receivables ratio, (4) the sales to inventory ratio, and (5) the profits to worth ratio.
Quantitative, Qualitative, and Profitability Ratios
The current ratio and the debt to worth ratio are quantitative ratios. The current ratio indicates the quantity coverage of current assets over the current or more pressing liabilities; the debt to worth ratio reflects the relationship of the creditors’ equities to the owners’ equities in the business. Many analysts feel that these are the two most important ratios in many statements, but it is conceivable that these ratios have little significance in many of the statements.
Two of the basic ratios, sales to receivables and sales to inventory, are qualitative ratios. The term qualitative is used descriptively and should not be taken too literally. The sales to receivables ratio and the sales to inventory do reflect upon the quality of the trading assets, but the ratios should never be taken as final proof of the quality of receivables and inventory. They should be used simply as indicators reflecting upon the quality. Further tests must be made to determine the condition and value of these important current assets.
The profit to worth ratio is a profitability ratio. It indicates a company’s ability to produce earnings and hence is indicative of its vitality. This ratio likewise should not be taken too literally. It can be distorted by many factors. Furthermore, good earnings can be offset by too liberal policy.
Each ratio must be considered in relation to the other ratios. A balancing of the importance of each independently and of all jointly should be made in every ratio analysis.
Many analysts have found five basics ratios to be of considerable assistance in the analysis of most statements. Internal comparison has also proved to be very useful to the analysts.
There are instances in which even the five basics ratios have no significance, but generally they are of value. Some analysts compute these basic ratios on all statements, and they compute other relationships whenever the computations seem justified. The five ratios that may be considered basic in analysis work are (1) the current ratio, (2) the debt to worth ratio, (3) the sales to receivables ratio, (4) the sales to inventory ratio, and (5) the profits to worth ratio.
Quantitative, Qualitative, and Profitability Ratios
The current ratio and the debt to worth ratio are quantitative ratios. The current ratio indicates the quantity coverage of current assets over the current or more pressing liabilities; the debt to worth ratio reflects the relationship of the creditors’ equities to the owners’ equities in the business. Many analysts feel that these are the two most important ratios in many statements, but it is conceivable that these ratios have little significance in many of the statements.
Two of the basic ratios, sales to receivables and sales to inventory, are qualitative ratios. The term qualitative is used descriptively and should not be taken too literally. The sales to receivables ratio and the sales to inventory do reflect upon the quality of the trading assets, but the ratios should never be taken as final proof of the quality of receivables and inventory. They should be used simply as indicators reflecting upon the quality. Further tests must be made to determine the condition and value of these important current assets.
The profit to worth ratio is a profitability ratio. It indicates a company’s ability to produce earnings and hence is indicative of its vitality. This ratio likewise should not be taken too literally. It can be distorted by many factors. Furthermore, good earnings can be offset by too liberal policy.
Each ratio must be considered in relation to the other ratios. A balancing of the importance of each independently and of all jointly should be made in every ratio analysis.
Translation - English Plusieurs analystes recommandent cinq ratios de base comme étant d’une assistance considérable dans l’analyse de la plupart des rapports financiers. La comparaison interne s’est prouvée très efficace pour les analystes.
Dans certains cas les cinq ratios de base ne sont pas significatifs mais, en général, ils sont valables. Quelques analystes calculent ces ratios pour tous les rapports financiers et, ils calculent d’autres rapports lorsque ceux-ci sont justifiés. Les cinq rapports de base considérés dans toutes analyses sont (1) le ratio actuel, (2) le ratio dette sur capitaux propres, (3) le ratio ventes sur comptes débiteurs, (4) le ratio ventes sur inventaire et, (5) le ratio profits sur capitaux propres.
Les ratios Quantitatifs, Qualitatifs, et de Profitabilité.
Le ratio actuel et le ratio dette sur capitaux propres sont quantitatifs. Le ratio actuel indique la valeur des actifs actuels par rapport aux dettes courantes ou immédiates ; le ratio reflète la relation entre l’avoir des créanciers et celui des propriétaires dans l’entreprise. Plusieurs analystes croient que ceux-ci constituent les deux plus importants ratios dans beaucoup de rapports financiers, mais cependant, il est possible qu’ils en aient peu d’importance dans beaucoup d’autres.
Deux des ratios de base, ventes sur compte débiteurs et ventes sur inventaire, sont des ratios qualitatifs. Le terme qualitatif est descriptif et ne devait pas être traduit trop littéralement. Les ratios ventes sur comptes débiteurs et le ratio ventes sur inventaire reflètent la qualité des actifs détenus mais, ces ratios ne devraient être considérés comme étant la preuve finale de la qualité des comptes débiteurs et de l’inventaire. Ils devraient être plutôt considérés simplement comme des indicateurs reflétant la qualité. D’autres tests devraient être poursuivis pour déterminer la condition et la valeur de ces importants actifs courants.
Le ratio profits sur fonds propres est un ratio de profitabilité. Il indique la capacité d’une entreprise de produire des revenus, et ainsi, révèle sa vitalité. Ce ratio ne devrait être non plus pris trop à la légère. Il peut être faussé par plusieurs facteurs. De plus, des revenus intéressants peuvent être contrebalancés par une politique de dividendes trop libérale.
Chaque ratio doit être considéré en relation à d’autres. Une balance de l’importance de chacun d’eux indépendamment et ensemble devrait être considérée dans chaque analyse.
French to English: Google, Facebook and Amazon General field: Bus/Financial Detailed field: Internet, e-Commerce
Source text - French Not long ago, being the boss of a big Western tech firm was a dream job. As the billions rolled in, so did the plaudits: Google, Facebook, Amazon and others were making the world a better place. Today these companies are accused of being BAADD-big, anti-competitive, addictive and destructive to democracy. Regulators fine them, politicians grill them and one-time backers warn of their power to cause harm.
Much of this techlash is misguided. The presumption that big businesses must necessarily be wicked wrong is plain wrong. Apple is to be admired as the world’s most valuable listed company for the simple reason that it makes things people want to buy, even while facing fierce competition. Many online services would be worst if their service providers were smaller. Evidence for the link between smart phone and unhappiness is weak. Fake news is not only an online phenomenon.
But big tech platforms, particularly Facebook, Google, and Amazon, do indeed raise a worry about fair competition. That is partly because they often benefit from legal exemptions. Unlike publishers, Facebook and Google are rarely held responsible for what users do on them; and for years, most American buyers on Amazon did not pay sales tax. Nor do the titans simply compete in a market. Increasingly, they are the market itself, providing the infrastructure (or ‘’ platforms’’) for much of the digital economy. Many of their services appear to be free, but users ‘’pay’’ for them by giving away their data. Powerful though they already are, their huge stock market valuations suggest that investors are counting on them to double or even triple in size in the next decade.
There is thus a justified fear that the tech titans will use their power to protect and extend their dominance, to the detriment of consumers. The tricky task for policymakers is to restrain them without unduly stifling innovation.
Source; The Economist January 20th 2018
Translation - English Il n’y a pas longtemps, c’était un rêve d’être le patron d’une grande firme de haute technologie occidentale. Avec les gains de milliards, il fallaient compter les gagnants : Google, Facebook, Amazon qui contribuaient au bonheur dans le monde. Aujourd’hui, ces compagnies sont accusées d’être MAUVAISES-monstrueuses, anti-compétitives, additives et destructrices pour la démocratie. Les décideurs les pénalisent, les politiciens les dénoncent et leurs alliés d’autrefois mettent en garde le danger posé par leur prédominance.
La plupart des réactions à l’encontre de ces compagnies de haute technologie sont malavisées. Prétendre que toutes grandes entreprises soient obligatoirement méchantes est tout-à-fait faux. Apple doit être admirée pour être la compagnie la plus valable au monde pour la simple raison qu’elle produit des biens que les gens désirent acheter, même quand elle fait face à la compétition. Plusieurs des services en ligne seraient de qualité médiocre si leurs fournisseurs étaient plus petits. Il est prouvé que la relation entre téléphones intelligents et mécontentement est faible. Les annonces de fausses nouvelles ne sont pas exclusivement un phénomène du secteur des services en ligne.
Cependant, les plateformes technologiques, particulièrement Facebook, Google et Amazon, suscitent effectivement la peur concernant une certaine compétition déloyale. Ceci est dû, en partie, au fait qu’ils bénéficient souvent d’exemptions légales. Contrairement aux éditeurs, Facebook et Google sont rarement tenues responsables des actes de leurs utilisateurs. Pendant des années, la plupart des utilisateurs américains d’Amazon ne payaient pas de taxe sur leurs achats. Ces titans n’avaient pas de compétition non plus sur le marché. Ils incarnaient le marché même, servant de moteurs (ou ‘’plateformes’’) en grande partie pour l’économie digitale. La plupart de leurs services semblent être gratuits, mais les utilisateurs ‘’paient’’ pour ces services en leur fournissant des données. Bien qu’ils soient déjà forts, la croissance fulgurante de la valeur en bourse de leurs actions laisse croire que les investisseurs comptent sur eux pour doubler ou même tripler en taille durant la prochaine décennie.
Ainsi, il se révèle une peur réelle que ces géants en haute technologie utilisent leur capacité pour protéger et étendre leur prédominance au détriment des consommateurs. La tâche délicate des décideurs est de les restreindre sans toutefois freiner outre mesure toute innovation.
Source : The Economist Janvier 2018-01-20
French to English: LE ROLE DES PRIX General field: Bus/Financial Detailed field: Economics
Source text - French L’intuition fondamentale de la Richesse des Nations d’Adam Smith est d’une simplicité déroutante. Si un échange entre deux parties est volontaire, il n’y aura lieu que si les deux parties croient en tirer un profit. La plupart des erreurs et des illusions économiques viennent du fait qu’on néglige cette idée toute simple. On a trop tendance à croire que l’on a affaire à un gâteau de taille déterminé et qu’une partie ne peut gagné qu’aux dépens de l’autre.
L’intuition d’Adam Smith est évidente pour un échange simple entre deux individus. Il est beaucoup plus difficile de comprendre comment l’échange peut permettre à des gens disséminés d’un bout à l’autre de la Terre de coopérer, alors qu’ils n’ont en vue que leurs intérêts particuliers.
Le mystère des prix est le mécanisme qui accomplit cette tâche sans direction centrale, sans exiger que les gens se parlent ou se plaisent. Quand vous achetez votre crayon ou votre pain quotidien, vous ne savez pas si le crayon a été fabriqué, ou si le blé a été semé, par un Blanc ou un Noir, un Chinois ou un Indien. En conséquence, le système des prix permet à des gens de coopérer pacifiquement pendant une période de leur vie, tout en suivant chacun son chemin pour le reste.
L’éclair de génie d’Adam Smith a été de reconnaitre que les prix résultant des transactions de gré ẚ gré entre acheteurs et vendeurs – bref dans le cadre du marché libre – pouvaient coordonner l’activité de millions de personnes ne recherchant que leur propre intérêt, de façon que chacun en retire un avantage. Le fait qu’un ordre économique puisse naitre des conséquences involontaires d’actions de nombreuses personnes ne cherchant que leur propre intérêt était à l’époque d’une idée stupéfiante, et elle la demeure aujourd’hui.
Le système des prix fonctionne si bien, avec une telle efficacité, que la plupart du temps nous n’avons même pas conscience de son existence. Nous ne nous apercevons de l’importance de son fonctionnement que lorsqu’on l’empêche de fonctionner ; et même alors nous reconnaissons rarement l’origine du trouble.
Les longues queues devant les stations-service américaines qui ont surgi soudain en 1974 après l’embargo de l’OPEP sur le pétrole, puis au printemps et en été 1979 après la révolution en Iran, sont un exemple récent tout à fait caractéristique. A chaque fois, il y a eu de violentes perturbations dans les livraisons de pétrole brut importé. Mais cela n’a pas provoqué de queues devant les stations-service allemandes ou japonaises, qui dépendent pourtant intégralement du pétrole d’importation. Et les queues ne sont apparues aux Etats-Unis – qui couvrent pourtant eux-mêmes une forte proportion de leurs besoins énergétiques – que pour une raison et une seule : parce que la législation, administrée par des services du gouvernement, n’a pas permis au système de fonctionner. Dans certaines régions, les prix ont été maintenus de façons autoritaire au-dessous du niveau qui aurait permis un état d’équilibre entre la quantité de carburant disponible dans les stations de service d’une part et la quantité de consommateurs acceptant de l’acheter à ce prix d’autres part. Des quotas ont été attribués aux différentes régions du pays de façon autoritaire plutôt qu’en réaction aux pressions de la demande telle qu’elle se reflétait dans les prix. Cela s’est traduit par des excédents dans certaines régions, et la pénurie (assortie de longues queues) dans d’autres parties du pays. Le fonctionnement harmonieux du système des prix - qui avait, pendants des dizaines d’années, garanti à chaque consommateur la possibilité d’acheter de l’essence à un grand nombre de stations-service, selon ses besoins et avec une attente minimale – avait été remplacé par l’improvisation bureaucratique.
Les prix remplissent trois fonctions dans l’organisation de l’activité économique : ils transmettent une information ; ils fournissent un stimulant tendant à faire adopter les méthodes de production les moins onéreuses (et donc à utiliser les ressources disponibles aux fins les plus rentables) ; enfin, ils déterminent qui obtient telle ou telle quantité du produit - c’est la répartition du revenu. Ces trois fonctions sont étroitement liées.
Translation - English The fundamental idea of The Wealth of Nations is quite puzzling. Two parties will freely make an exchange only if they believe to make a profit. Most of the time, through mistakes or economic illusions, we simply neglect that basic idea. We tend to believe that we are dealing with a limited cake and that one party can gain only at the expense of the other.
Adam Smith’s idea is clearly easy for exchange between two individuals. It is much more difficult to conceive the possibility of exchanges among people disseminated around the world and who only care about their particular interests.
The price system is the mechanism which accomplishes that task without central control, nor requiring that people talk or please each other. When you buy your pencil or your daily bread, you ignore whether the pencil was fabricated, or if the wheat was sown by a White or a Black, a Chinese or an Indian. Therefore, the price system allows people to cooperate peacefully during a period of their life while following their own separate ways.
The stunning genius of Adam Smith was to acknowledge the fact that prices resulting from mutual agreement between buyers and vendors - i.e. in the case of free market – could coordinate the activity of millions of people seeking their own interests while everyone benefits. The fact that an economic order can derive from various people seeking their own interests was at that time a puzzling idea, and it remains so today.
The price system functions so well, so efficiently, that most of the time, we are not conscious of its existence. We do not realize its importance until its functioning is impeded; even then, we seldom identify the real cause.
The long lines that have been suddenly observed at service stations in the US in 1974 after the embargo on oil from OPEP and then, in spring and summer 1979 after the Iran revolution constitute a fresh characteristic example. There have been violent disturbances in the delivery of imported crude oil each time. That has not caused lines at service stations in Germany and Japan which rely entirely on imported oil. Lines have occurred in the US – which provides for a large portion of its energetic needs. – for only one reason: because of the law, being implemented by government agencies has not let the price system function. In certain regions, prices have been maintained arbitrarily under levels which would have allowed certain equilibrium between the volume of fuel available in service stations on one hand and numbers of consumers willing to buy at those prices on the other hand. Quotas have been allocated among different regions of the country in an arbitrary manner rather than in response to pressing demands as expressed by prices. That provoked excesses in certain regions and, shortages (along with long lines) in other parts of the country. The smooth functioning of the price system which, for several decades, made it possible for consumers to buy fuel from a large number of service stations, according to their needs within minimum waiting periods – had been displaced by bureaucratic improvisation.
Prices accomplish three functions within the organization of economic activities: they transmit information; they give incentives toward adopting the most cost-efficient methods of production (and also the most profitable uses of available resources): at last, they determine who gets this or that quantity of a product – that is income distribution. Those three functions are closely connected.
French to English: LA SEGMENTATION DES MARCHES, LE CIBLAGE ET LE POSITIONEMENT General field: Marketing Detailed field: Business/Commerce (general)
Source text - French RESUME
Une entreprise peut aborder son marché de trois manières. Un marketing de masse consiste à produire et distribuer en gros volume, en s’adressant à l’ensemble du marché. La différenciation par le produit s’appuie sur la mise sur la mise en valeur du style, des caractéristiques, de la taille, de la qualité de plusieurs produits afin d’obtenir une grande variété de choix et de se distinguer de la concurrence. Le ciblage, enfin, s’efforce d’identifier un ou plusieurs groupes de consommateurs et de développer pour chacun d’eux un produit et un marketing adaptés. De plus en plus d’entreprises abandonnent les deux premières approches au profit de la troisième qui permet de tirer davantage parti des opportunités offertes sur le marché.
Cibler un marché suppose qu’on l’ait d’abord segmenté et ensuite que l’on identifie le positionnement correspondant. Segmenter un marché consiste à le découper en sous-ensmbles homogènes de la clientèle, chaque groupe pouvant raisonnablement être choisi comme cible à atteindre à l’aide d’un marketing mix spécifique. Un marché peut être segmenté en fonction de critères géographiques, démographique, psychographiques et de comportement, s’il s’agit d’un marché de grande consommation et en fonction du secteur, du mode d’achat, du type d’application et d’autres facteurs conjoncturels et liés aux acheteurs, s’il s’agit d’un marché industriel. Pour être véritablement féconds, les segments doivent être mesurables, accessibles et de dimension suffisantes.
L’entreprise doit, ensuite, analyser l’attrait spécifique de chaque segment de marché, de mieux définir ses marchés-cibles et leur nombre. Une entreprise peut adopter différentes stratégies pour atteindre ses cibles ; certaines choisissent d’ignorer les segments (marketing indifférencié), d’autres développent toute une variété de produits et de programmes d’action adapté aux différents besoins (marketing différencié), et d’autres encore décident de ne s’adresser qu’à certains segments seulement (marketing concentré). Aucune de ces stratégies n’est préférable à une autre dans l’absolu, car tout dépend des ressources de l’entreprise, de l’homogénéité du marché des produits, de l’étape des produits dans leur cycle de vie, de l’homogénéité du marché, et de la stratégie de marketing des concurrents
Enfin, l’entreprise doit choisir pour chaque cible le positionnement le plus adapté partir d’une analyse des critères d’achat et des perceptions des produits et marques disponibles sur le marché. Segmentation, ciblage et positionnement constituent les fondements du plan marketing.
Translation - English SUMMARY
An enterprise can approach its market in three ways. A mass marketing consists in the production and distribution of large volumes, while addressing the whole market. The product differentiation relies upon emphasizing the style, the features, and the size, the quality of several products in order to offer a large variety of choices and to distinguish itself from the competition. The targeting , finally, tries to identify one or several consumer groups and to develop for each one an appropriate product and marketing. More and more enterprises abandon the first two approaches in favor of the third one which allows for taking advantages from opportunities offered on the market.
Targeting a market supposes that it has been segmented first before determining the corresponding positioning. Segmenting a market consists in dividing it into homogeneous subgroups of clients; each group can be reasonably chosen as target to attain through a specific marketing mix. A market can be segmented according to geographic, demographic, psychographic and behavior criteria, If it is a large consumer market and according to the sector, purchasing patterns, type of applications and other conjectural factors and related to buyers, in case of an industrial market. In order to be really productive, the segments must be measurable, accessible, and of sufficient sizes.
The enterprise must then analyze the specific the attractiveness of each market segment in order to define its market targets and their value. An enterprise can develop different strategies to reach its targets: some strategies may consist in ignoring all segments (undifferentiated market), others may introduce a whole series of appropriate products and action plans in response to different needs (differentiated marketing), while others may decide to focus on certain segments only (targeted market). None of the above strategies is absolutely preferable, because all depend on the resources of the enterprise, homogeneity of products, the stage of the products lifespan, the market homogeneity, and the marketing strategy of competitors.
Finally, the enterprise must select the best appropriate positioning for each target based on an analysis of buying criteria and perceptions of products and brands available on the market. Segmentation, targeting and positioning constitute the basis of a marketing plan.
French to English: La Fonction du Directeur Financier General field: Bus/Financial Detailed field: Finance (general)
Source text - French The major objective of any business firm is to make a profit for its owners by producing goods or services for sale in the market place. To reach this goal, the firm purchases the factors of production and with them produces the output it sells. The central feature of financial management is its formulation of the firm’s strategy in determining the most effective use of the funds currently at the disposal of the company and in selecting the most favorable sources of additional funds that the enterprise will need in the foreseeable future
As we shall view him, the financial manager performs an operational function. He is the member of a firm’s top management charged with the responsibility of planning, organizing, effectuating, and controlling the financial affairs of the enterprise. In a large concern he is usually an officer who carries the title of vice president for finance, controller or treasurer. In smaller firms, this function resides with the president of the corporation or the owner of an unincorporated business in addition to his other burdens. How well the financial manager meets the challenge determines whether the enterprise will prosper or fail.
1. FUNCTION OF THE FINANCIAL MANAGER
The responsibility of the financial manager encompasses five major functions.
1. An in-depth financial analysis of the accounting statements and records.
2. Estimating the prospective inflow and outflow of funds in the next quarter or year, in order to determine the prospective liquidity of the firm.
3. Selecting the most desirable temporary investment for the excess cash and near-cash resources of the firm.
4. Providing top management with information on current and prospective financial conditions of the business as a basis for policy decision on purchase, marketing, and pricing.
5. Finally, and the most important single function, preparing the detailed financial plan for the procurement (sources) and allocation (uses) of funds by the firm, both short-term and long-term. It is the responsibility of the financial manager to evaluate the prospective cost of funds as against the anticipated profit from the use of these funds by the operating units to which they are to be allocated.
Accounting Data The accountant records the results of the firm’s economic activities. He lists all revenues, the explicit (or observable) expenditures, and profit or loss. The financial manager considers all these and also the implicit (or unobservable) costs. Unlike the accountant who records only those changes in the value of assets that are ‘’in accordance with accounting principles,’’ the financial manager recognizes the importance of other factors that may have an effect on the firm’s credit rating, its borrowing power, and its evaluation in case of merger or sale. The financial manager is also very much concerned with the specific causes of the firm’s profit or loss. For instance, he may question whether the profits were due to superior efficiency or mere ‘’luck’’ because major competitors were subject to a prolonged shutdown as a result of a strike, fire, or some other temporary disturbance. Then, too, he attempts to project the firm’s financial conditions and needs in the months ahead through the use of recent sales and profit or loss figures.
Flow of Funds The financial manager must estimate the cash inflow from sales and the outflow for wages, services, goods, taxes, etc. This flow of funds is projected either on a weekly or monthly basis. It provides a foundation for determining whether the firm will have to borrow funds to meet a cash deficit and, if so, how long it will require such loans. The financial manager has the responsibility of evaluating the financial advantages of alternatives to borrowing. For example, should the firm purchase goods and supplies in smaller quantities, if and when needed, without a quantity discount rather than make a single large purchase? Or should it take full advantages of the credit extended by suppliers instead of gaining the discount for payment within a few days of receipt of goods?
Excess Cash It is a common experience for a firm, especially a large establishment to have substantial cash balance in excess of scheduled requirements. Such a situation arises periodically as a consequence of seasonal influences, i.e. in the ‘’slow’’ season of output and/or sales. Excess cash balances are also generated if the firm sells a fixed asset or floats an issue of stocks or bonds. While these funds may be subsequently invested in new fixed assets they constitute excess cash until disbursed It is the function of the financial manager (1) to estimate the length of time during which the firm will have at its disposal such excess cash , and (2) to select the temporary investment (s) into which such excess cash can be channeled. Such investment could be, among others, a saving deposit, a Certificate of Deposit, or short-term government obligations, each of which possesses a high degree of liquidity, yields interest, and involves a minimum of risk.
Translation - English L’objectif de toutes entreprises est de réaliser un profit pour ses propriétaires en produisant des biens ou services pour la vente sur le marché. Pour atteindre ce but, l’entreprise se procure les facteurs de production et les utilise pour produire ce qu’elle vend. Le caractère principal de la gestion financière réside dans sa conception de la stratégie de l’entreprise pour déterminer l’utilisation la plus efficace des fonds actuellement à sa disposition et en choisissant les sources de fonds additionnelles dont l’entreprise aura besoin dans un proche avenir.
Comme on le verra, le directeur financier occupe une fonction opérationnelle. Il est le membre de la haute direction de l’entreprise responsable de la planification, de l’exécution, et le control des affaires financières de l’entreprise. La plus part du temps, il est l’officier qui porte le titre de vice président pour la finance, contrôleur ou trésorier. Dans les petites firmes, cette fonction revient au président de la corporation ou le propriétaire d’une entreprise personnelle en addition à d’autres charges. La qualité de performance du directeur financier détermine le succès ou échec de l’entreprise.
1. Les fonctions Du Directeur Financier
La responsabilité du directeur financier inclus cinq fonctions majeures.
1. Une analyse en profondeur des rapports comptables et des dossiers.
2. L’estimation des entrées et sorties de fonds pour le prochain trimestre ou prochaine
année dans le but de déterminer les perspectives de liquidité de l’entreprise.
3. Choisir l’investissement temporaire le plus intéressant pour le surplus de cash et quasi- monnaie.
4. Fournir à la haute direction les informations sur la situation financière actuelle et les perspectives pour l’entreprise comme base de décision pour les achats, le marketing et les prix.
5. Finalement, la plus importante fonction, c’est la préparation d’un plan financier détaillé pour l’approvisionnement (sources) et allocation (utilisation) de fonds par l’entreprise, à la fois sur le court et long terme. C’est la responsabilité du directeur financier d’évaluer le cout éventuel des fonds par rapport au profit à réaliser sur l’utilisation de ces fonds par l’unité d’exploitation de ces fonds
Informations comptables Le Comptable enregistre les résultats des activités économiques de l’entreprise. Il liste tous les revenus, les dépenses explicites (constatées) et les profits et pertes. Le directeur financier considère tous ceux-ci et, également, tous les couts implicites (cachés). Contrairement au comptable qui enregistre seulement les changements dans la valeur des actifs qui sont « les principes comptables, » le directeur financier tient compte de l’importance d’autres facteurs qui peuvent affecter la cote de crédit de l’entreprise, sa capacité d’emprunter et son évaluation en cas de fusion ou de vente. Le directeur financier est également très préoccupé par les causes spécifiques des pertes et profits de l’entreprise. Par exemple, il peut questionner si les profits sont dus à une efficacité exceptionnelle ou simplement à la « chance » parce que d’autres grands compétiteurs avaient subi une un arrêt prolongé à la suite d’une grève, un incendie, ou d’autres troubles temporaires. De plus, il essaie de prévoir les situations et besoins financiers de la firme pour les prochains mois en tenant compte des chiffres pour les ventes récentes ainsi que les chiffres de profits ou pertes.
Flux de Fonds Le directeur financier doit prévoir les rentrées de cash provenant des ventes ainsi que les sorties de cash pour les salaires, les services, les biens, les taxes, etc. Ce flux de cash est établi soit sur une base hebdomadaire ou mensuelle. Il servira de base pour déterminer si la firme aura besoin d’emprunter de l’argent pour faire face à un manque de liquidité et, si c’est le cas, pour combien de temps. Le directeur financier devra évaluer les avantages financiers d’autres alternatifs à l’emprunt. Par exemple, la firme devrait-elle acheter de plus petites quantités de biens et fournitures au besoin et sans ristourne plutôt que d’effectuer une seule importante commande ? Ou encore, devrait-elle prendre tous les avantages de crédit offerts par les fournisseurs plutôt que d’obtenir des ristournes en cas de paiements effectués quelques jours après réception des marchandises?
Excès de Liquidité C’est une expérience courante pour les firmes, spécialement les grands établissements, d’enregistrer une balance de liquidité substantielle au delà de ses besoins prévisionnels. Une telle situation se produit périodiquement par suite d’influences saisonnières, c’est-à-dire, durant la saison ‘’morte’’ de production et/ou de ventes. Le surplus de cash se dégage également si la firme vend un bien immobilisé ou émet des actions ou des bons. Bien que ces fonds peuvent être convertis en de nouveaux actifs immobilisés par la suite, ils constituent des excès de liquidité jusqu'à qu’ils soient déboursés. C’est le rôle du directeur financier (1) de déterminer la durée de temps pendant laquelle ces surplus de fonds seront disponibles, et (2) de choisir le ou les placements temporaires dans lesquels ces surplus de fonds seront canalisés. De tels placements pourraient être, par contre, un compte d’épargne, un Certificat de Dépôt, ou des obligations à court-terme du gouvernement, chacun d’eux offrant un degré de liquidité, d’intérêts, et impliquant un minimum de risques.
French to English: WHAT MAKES STOCK PRICES MOVE General field: Bus/Financial Detailed field: Investment / Securities
Source text - French Unless some event of shattering importance occurs, the daily behavior of stock prices is the outcome of a tug-of-war between dozens of forces, some positive, some negative. These include economic, monetary, and political development and rumors of development; everything that’s happening or believed to be happening in the corporate world; rulings by governmental regulatory agencies; court decisions that affect industries or individual companies; crop reports; scuttlebutt about what superstar money managers are buying or selling; the cash needs of investors (to pay bills or to buy yachts), and so on. So trying to come up with specific reasons for the market’s daily behavior is usually an exercise in futility. Nonetheless, all changes in stock prices have an underlying rationale.
Have you ever ask yourself what, basically, determines the price of a stock? The answer is: investors’ expectations of the future return-dividends and capital growth- that the stock will provide. So what makes stock move is change in investors ‘expectations about future returns. What cause those changes can be summed upon three words: ‘’Just about everything,’’ The behavior of the stock market reflects the collective knowledge, beliefs, hopes, fears, and fantasies of all investors. Facts, rumors, judgments, and emotion give rise to conflicting opinions about future risks and rewards. And those opinions assume concrete shape and size in the form of orders to buy and sell stocks; they are translated into demand and supply
Unless some event of shattering importance occurs, the daily behavior of stock prices is the outcome of a tug-of-war between dozens of forces, some positive, some negative. These include economic, monetary, and political development and rumors of development; everything that’s happening or believed to be happening in the corporate world; rulings by governmental regulatory agencies; court decisions that affect industries or individual companies; crop reports; scuttlebutt about what superstar money managers are buying or selling; the cash needs of investors (to pay bills or to buy yachts), and so on. So trying to come up with specific reasons for the market’s daily behavior is usually an exercise in futility. Nonetheless, all changes in stock prices have an underlying rationale.
Have you ever ask yourself what, basically, determines the price of a stock? The answer is: investors’ expectations of the future return-dividends and capital growth- that the stock will provide. So what makes stock move is change in investors ‘expectations about future returns. What cause those changes can be summed upon three words: ‘’Just about everything,’’ The behavior of the stock market reflects the collective knowledge, beliefs, hopes, fears, and fantasies of all investors. Facts, rumors, judgments, and emotion give rise to conflicting opinions about future risks and rewards. And those opinions assume concrete shape and size in the form of orders to buy and sell stocks; they are translated into demand and supply
Unless some event of shattering importance occurs, the daily behavior of stock prices is the outcome of a tug-of-war between dozens of forces, some positive, some negative. These include economic, monetary, and political development and rumors of development; everything that’s happening or believed to be happening in the corporate world; rulings by governmental regulatory agencies; court decisions that affect industries or individual companies; crop reports; scuttlebutt about what superstar money managers are buying or selling; the cash needs of investors (to pay bills or to buy yachts), and so on. So trying to come up with specific reasons for the market’s daily behavior is usually an exercise in futility. Nonetheless, all changes in stock prices have an underlying rationale.
Have you ever ask yourself what, basically, determines the price of a stock? The answer is: investors’ expectations of the future return-dividends and capital growth- that the stock will provide. So what makes stock move is change in investors ‘expectations about future returns. What cause those changes can be summed upon three words: ‘’Just about everything,’’ The behavior of the stock market reflects the collective knowledge, beliefs, hopes, fears, and fantasies of all investors. Facts, rumors, judgments, and emotion give rise to conflicting opinions about future risks and rewards. And those opinions assume concrete shape and size in the form of orders to buy and sell stocks; they are translated into demand and supply
Translation - English A moins de l’éclatement d’un événement majeur, le comportement du prix des actions reflète la tension entre des douzaines de facteurs, certains positifs, d’autres négatifs. Ces facteurs sont d’ordre économique, monétaire et politique ou simplement des rumeurs; tout ce qui se passe ou encore, tout ce qu’on s’imagine se passer dans le monde des affaires ; mesures par les agences gouvernementales de règlementations, décisions de justice affectant les industries ou entreprises privées, résultats agricoles, les rumeurs au sujet de ce que les vedettes de la gestion de portefeuilles achètent ou vendent ; les besoins cash des investisseurs (pour payer des créances ou pour acheter des yachts), ainsi de suite. Par conséquent, essayer de déterminer les vraies causes du comportement journalier du marché se révèle toujours une démarche vaine. Cependant, tout changement dans les prix des actions sous-entend une rationalité.
Vous êtes-vous jamais demandé quoi, finalement, détermine le prix d’une action ? La réponse est : _ dividendes et croissance du capital_ que l’action générera. En fin de compte, ce qui fait bouger les prix c’est le changement dans les attentes des investisseurs concernant les rendements futurs. Ce qui provoque ces changements peut être résumé en ces mots : ‘’Un peu de tout.’’ Le comportement du marché reflète la connaissance, la croyance, l’espoir, la crainte, et rêve collectifs de tous les investisseurs. Faits, rumeurs, jugements, et émotions donnent lieu à toutes sortes d’opinions concernant les risques et compensations à venir. Ces opinions se convertissent concrètement en formes et dimensions des ordres d’achats et de ventes d’actions : ils se traduisent en demande et offre.
A moins de l’éclatement d’un événement majeur, le comportement du prix des actions reflète la tension entre des douzaines de facteurs, certains positifs, d’autres négatifs. Ces facteurs sont d’ordre économique, monétaire et politique ou simplement des rumeurs; tout ce qui se passe ou encore, tout ce qu’on s’imagine se passer dans le monde des affaires ; mesures par les agences gouvernementales de règlementations, décisions de justice affectant les industries ou entreprises privées, résultats agricoles, les rumeurs au sujet de ce que les vedettes de la gestion de portefeuilles achètent ou vendent ; les besoins cash des investisseurs (pour payer des créances ou pour acheter des yachts), ainsi de suite. Par conséquent, essayer de déterminer les vraies causes du comportement journalier du marché se révèle toujours une démarche vaine. Cependant, tout changement dans les prix des actions sous-entend une rationalité.
Vous êtes-vous jamais demandé quoi, finalement, détermine le prix d’une action ? La réponse est : _ dividendes et croissance du capital_ que l’action générera. En fin de compte, ce qui fait bouger les prix c’est le changement dans les attentes des investisseurs concernant les rendements futurs. Ce qui provoque ces changements peut être résumé en ces mots : ‘’Un peu de tout.’’ Le comportement du marché reflète la connaissance, la croyance, l’espoir, la crainte, et rêve collectifs de tous les investisseurs. Faits, rumeurs, jugements, et émotions donnent lieu à toutes sortes d’opinions concernant les risques et compensations à venir. Ces opinions se convertissent concrètement en formes et dimensions des ordres d’achats et de ventes d’actions : ils se traduisent en demande et offre.
A moins de l’éclatement d’un événement majeur, le comportement du prix des actions reflète la tension entre des douzaines de facteurs, certains positifs, d’autres négatifs. Ces facteurs sont d’ordre économique, monétaire et politique ou simplement des rumeurs; tout ce qui se passe ou encore, tout ce qu’on s’imagine se passer dans le monde des affaires ; mesures par les agences gouvernementales de règlementations, décisions de justice affectant les industries ou entreprises privées, résultats agricoles, les rumeurs au sujet de ce que les vedettes de la gestion de portefeuilles achètent ou vendent ; les besoins cash des investisseurs (pour payer des créances ou pour acheter des yachts), ainsi de suite. Par conséquent, essayer de déterminer les vraies causes du comportement journalier du marché se révèle toujours une démarche vaine. Cependant, tout changement dans les prix des actions sous-entend une rationalité.
Vous êtes-vous jamais demandé quoi, finalement, détermine le prix d’une action ? La réponse est : _ dividendes et croissance du capital_ que l’action générera. En fin de compte, ce qui fait bouger les prix c’est le changement dans les attentes des investisseurs concernant les rendements futurs. Ce qui provoque ces changements peut être résumé en ces mots : ‘’Un peu de tout.’’ Le comportement du marché reflète la connaissance, la croyance, l’espoir, la crainte, et rêve collectifs de tous les investisseurs. Faits, rumeurs, jugements, et émotions donnent lieu à toutes sortes d’opinions concernant les risques et compensations à venir. Ces opinions se convertissent concrètement en formes et dimensions des ordres d’achats et de ventes d’actions : ils se traduisent en demande et offre.
A moins de l’éclatement d’un événement majeur, le comportement du prix des actions reflète la tension entre des douzaines de facteurs, certains positifs, d’autres négatifs. Ces facteurs sont d’ordre économique, monétaire et politique ou simplement des rumeurs; tout ce qui se passe ou encore, tout ce qu’on s’imagine se passer dans le monde des affaires ; mesures par les agences gouvernementales de règlementations, décisions de justice affectant les industries ou entreprises privées, résultats agricoles, les rumeurs au sujet de ce que les vedettes de la gestion de portefeuilles achètent ou vendent ; les besoins cash des investisseurs (pour payer des créances ou pour acheter des yachts), ainsi de suite. Par conséquent, essayer de déterminer les vraies causes du comportement journalier du marché se révèle toujours une démarche vaine. Cependant, tout changement dans les prix des actions sous-entend une rationalité.
Vous êtes-vous jamais demandé quoi, finalement, détermine le prix d’une action ? La réponse est : _ dividendes et croissance du capital_ que l’action générera. En fin de compte, ce qui fait bouger les prix c’est le changement dans les attentes des investisseurs concernant les rendements futurs. Ce qui provoque ces changements peut être résumé en ces mots : ‘’Un peu de tout.’’ Le comportement du marché reflète la connaissance, la croyance, l’espoir, la crainte, et rêve collectifs de tous les investisseurs. Faits, rumeurs, jugements, et émotions donnent lieu à toutes sortes d’opinions concernant les risques et compensations à venir. Ces opinions se convertissent concrètement en formes et dimensions des ordres d’achats et de ventes d’actions : ils se traduisent en demande et offre.
French to English: PANIQUE ET CUPIDITE General field: Bus/Financial Detailed field: Investment / Securities
Source text - French Fear or greed becomes the dominant influence on stock prices whenever investors cease to act as thinking individuals and surrender to herd psychology.* This occurs with unfailing regularity in the final stages of major bull or bear markets. In the euphoria generated by a long and powerful market advance, investors get carried away by the lure of instant profits, and greed takes command; even normally hardheaded professionals ignore rational yardsticks of valuation and join the frenzied buying that pushes prices to preposterously high levels, from which they eventually come down with a crash. Similarly at the tail end of bear markets, fear conjures up the image of total catastrophe, and panic selling forces valuations down to fire-sale levels. Here are some examples of the enormous impact that greed and fear can have on stock prices.
In the eighteen months leading up to the historic crash of 1929, Anaconda rose from 54 to 162, Montgomery Ward from 134 to 467, Radio Corporation from 95 to 505 and Westinghouse from 92 to 313. In the subsequent bear market, Anaconda fell from 162 to 4, Radio Corporation from 505 to 18 and Westinghouse from 313 to 16. At their peak prices in the bull market of the late 1960s, thirty “growth stocks” widely favored by institutions sold at a stratospheric average valuation of eighty-four times earnings _about five times the S&P 500. In the bear market of 1969-1970, the prices of these issues dropped on the average 81 percent from their bull market highs. Donald T. Regan, then chairman of Merrill Lynch, later said in his book, A View from the Street (New York: New American Library, 1972): ‘’Institutional buyers, alleged to be … pretty cool customers making emotionless decisions, were just as susceptible to panic, if not more so as anyone else.” Institutions acted even more irrationally in the bear market of 1973-1974; twenty seven of the institutional stocks dropped, on the average, 84 percent from their 1971-1972 highs. Avon Products plummeted from 140 to 185/8, Walt Disney from 1191/8 to 165/8,
*The history of mass irrationality in investing is richly documented in Charles Mackay’s Extraordinary Popular delusion and The Madness of Crowds (1841), and in Gustave Le Bon’s small classic The Crowds (1895), both of which are still in print.
40 WHAT MAKES STOCK PRICES MOVE
McDonald’s from 773/8 to 211/4 and Westinghouse from 547/8 to 8. Nothing was fundamentally wrong with these companies. Indeed, at their 1975highs_that is less than a year the twenty-seven stocks were up, on the average, 221 percent from their 1974 lows.
Crowd psychology doesn’t necessarily vanish from the market place at times when the market is neither booming nor collapsing. It can manifest itself in fads and fashions that generate speculative crazes for stocks groups whose promise is either vastly exaggerated or entirely fanciful. Over the past two decades or so, such fad-followed stock groups have included small business investments companies, companies in the bowling business, copycat fast-food franchisers short on assets and know-how, real estate investments trusts, infant technology companies with no earnings and no markets for their products, and other so-called ‘’concept’’ stocks that put stars into investors ‘eyes and eventually took the shirts off their backs.
In the hope of making a quick killing people often buy fad stocks or other favorites that their reason tells them are dangerously overvalued. They rationalized their greed with the “greater fool theory,’’ which says that you will be able to sell an overpriced stock to a greater fool at an even higher price. Occasionally, the theory works. But never forget that, in the stock market, fear displaces greed with astonishing rapidity, and all those fools who were frantic to buy suddenly become scared cats who are frantic to sell.
Translation - English Panique ou cupidité devient le facteur dominant lorsque les individus cessent d’êtres des investisseurs pensants et se laissent mener par une psychologie de masse.* Ceci arrive régulièrement sans faute en stage final d’un marché très haussier ou très baissier. Dans l’euphorie crée par l’approche d’un marché durable et solide, les investisseurs sont emportés par l’attrait de profits rapides et alors, la rapacité s’installe ; même les professionnels habituellement réalistes oublient les mesures rationnelles d’évaluation et se joignent à la fièvre du marché qui pousse les prix à des niveaux sans précédents et qui, éventuellement connaissent une chute. Il en est de même à la fin d’un marché baissier, la panique s’installe et évoque l’idée d’une catastrophe qui force les prix à chuter. Voilà quelques exemples de l’énorme poids que peuvent jouer la voracité et la panique sur les prix des actions.
Dans les dix huit mois qui précédèrent le crash historique de 1929, Anaconda augmenta de 54 à 162, Montgomery Ward de 134 à 467, Radio Corporation de 95 à 505 et Westinghouse de 92 à 313. Avec l’arrivée du marché baissier, Anaconda chuta de 164 à 4, Montgomery Ward de 467 à 4, Radio Corporation de 505 à 18 et Westinghouse de 313 à 16. A leurs plus hauts niveaux du marché haussier en fin des années 1960, trente «valeurs de croissance » largement favorites par les institutions se vendaient à une valeur estimative stratosphérique de quatre vingt quatre fois leur gain – environ cinq fois celle de S&P 500. Dans le cours du marché baissier de 1969-1970, les prix de ces émissions chutèrent en moyenne 81 pour cent de leurs prix haussiers. Donald T. Regan, alors chairman of Merrill Lynch, déclara plus tard dans son livre, A View from the Street ( Une Vue de la Rue} (New York : New American Library, 1972) : « Les acheteurs institutionnels, supposément …des clients assez réservés qui prennent des décisions sans émotions, étaient aussi susceptibles à la panique, sinon davantage, que quiconque d’’autres. » Les institutions se comportaient d’une manière plus irrationnelle dans le marché baissier de 1973-1974 ; vingt sept des actions favorites institutionnelles chutèrent, en moyenne, quatre vingt quatre pour cent de leur hausse des années 1971-1972. Avon Products plongea de 140 à 185/8, Walt Disney de 1191/8 à 165/8 ,
*L’histoire de l’irrationalité de masses en investissement est largement documentée dans le livre de Charles Mackay Les désillusions Populaires et extraordinaires et La Folie des Foules (1841), et dans le petit classic de Gustave Le Bon La Foule (1895), lesquels deux sont encore imprimés.
40 CE QUI FAIT BOUGER LES COUTS DES ACTIONS
McDonald’s de 773/8 a 211/4 et Westinghouse de 547/8 à 8. Il n’y avait rien de fondamentalement incorrect au sujet de ces compagnies. En effet, à leur haut de 1975-ce qui signifie, en moins d’un an-les vingt sept actions avaient augmenté, en moyenne, de 221 pour cent de leurs niveaux bas de 1974.
La psychologie de masse ne disparait pas nécessairement en temps de prospérité ou d’effondrement du marché. Elle peut se manifester dans les modes passagers qui produisent des folies spéculatrices pour des groupes d’actions dont les promesses sont des plus exagérées ou fantaisistes. Durant environ les deux dernières décennies , ces groupes de stocks en vogue incluaient des petites compagnies d’investissement, des compagnies de bowling, des compagnies s’inspirant des détenteurs de franchises fast-food à court d’actifs et de connaissances techniques, des fiducies immobilières, de récentes compagnies de technologie sans revenus et sans débouchés pour leurs produits , et d’autres actions surnommées ‘’concept’’ qui promettent la lune aux investisseurs et qui éventuellement disparaissent comme un éclair.
Dans l’espoir de réaliser une fortune, des gens achètent souvent des actions en vogue ou d’autres favoris malgré que la raison leur rappelle qu’elles sont dangereuses et surévaluées. Ils rationalisent leur agressivité avec la ‘’théorie du plus sot,’’ qui dit que vous pouvez toujours revendre une action surévaluée même à un prix plus élevé à un plus sot. Parfois, cette théorie réussit. Cependant n’oubliez pas que dans le marché boursier, la panique remplace la voracité avec une rapidité éclatante, et tous ces sots qui s’affolaient pour acheter deviennent soudainement comme des chats effrayés qui s’affolaient pour vendre.
French to English: LES STRATEGIES DU LEADER General field: Marketing Detailed field: Business/Commerce (general)
Source text - French Dans la plupart des secteurs d’activité, il existe une entreprise reconnue comme le leader du marché. Le leader prend généralement l’initiative des modifications de prix, des lancements de nouveaux produits et possède le système de distribution le plus bas et le budget promotionnel le plus élève. Il constitue un pole de référence que les concurrents s’efforcent d’attaquer, d’imiter ou d’éviter. Dans ce groupe figurent les plus les plus connues de nos entreprises : Michelin (pneumatiques), L’Oréal (cosmétiques), Bic (stylobilles), Lesieur (huile alimentaire), etc…
A moins de jouir d’une situation de monopole légal, un leader doit rester constamment en éveil. La concurrence s’acharne en effet à attaquer ses positions et à réduire son emprise sur le marché. Une innovation réussie peut provoquer l’obsolescence (déclin de Paris-Match au profit des news magazines). Un conservatisme exagéré, engendrer l’assouplissement (perte des grands magasins au profit des grandes surfaces). Un mauvais contrôle de rentatabilité, entrainer la faillite (Creusot-Loire).
L’objectif d’un leader est de rester à la première place. Trois solutions sont offertes : 1) s’efforcer d’augmenter la demande primaire ; 2) contenir l’attaque de la concurrence à l’aide de stratégies offensives ou défensives ; 3) chercher à augmenter sa part du marché.
Dans la plupart des secteurs d’activité, il existe une entreprise reconnue comme le leader du marché. Le leader prend généralement l’initiative des modifications de prix, des lancements de nouveaux produits et possède le système de distribution le plus bas et le budget promotionnel le plus élève. Il constitue un pole de référence que les concurrents s’efforcent d’attaquer, d’imiter ou d’éviter. Dans ce groupe figurent les plus les plus connues de nos entreprises : Michelin (pneumatiques), L’Oréal (cosmétiques), Bic (stylobilles), Lesieur (huile alimentaire), etc…
A moins de jouir d’une situation de monopole légal, un leader doit rester constamment en éveil. La concurrence s’acharne en effet à attaquer ses positions et à réduire son emprise sur le marché. Une innovation réussie peut provoquer l’obsolescence (déclin de Paris-Match au profit des news magazines). Un conservatisme exagéré, engendrer l’assouplissement (perte des grands magasins au profit des grandes surfaces). Un mauvais contrôle de rentatabilité, entrainer la faillite (Creusot-Loire).
L’objectif d’un leader est de rester à la première place. Trois solutions sont offertes : 1) s’efforcer d’augmenter la demande primaire ; 2) contenir l’attaque de la concurrence à l’aide de stratégies offensives ou défensives ; 3) chercher à augmenter sa part du marché.
Dans la plupart des secteurs d’activité, il existe une entreprise reconnue comme le leader du marché. Le leader prend généralement l’initiative des modifications de prix, des lancements de nouveaux produits et possède le système de distribution le plus bas et le budget promotionnel le plus élève. Il constitue un pole de référence que les concurrents s’efforcent d’attaquer, d’imiter ou d’éviter. Dans ce groupe figurent les plus les plus connues de nos entreprises : Michelin (pneumatiques), L’Oréal (cosmétiques), Bic (stylobilles), Lesieur (huile alimentaire), etc…
A moins de jouir d’une situation de monopole légal, un leader doit rester constamment en éveil. La concurrence s’acharne en effet à attaquer ses positions et à réduire son emprise sur le marché. Une innovation réussie peut provoquer l’obsolescence (déclin de Paris-Match au profit des news magazines). Un conservatisme exagéré, engendrer l’assouplissement (perte des grands magasins au profit des grandes surfaces). Un mauvais contrôle de rentatabilité, entrainer la faillite (Creusot-Loire).
L’objectif d’un leader est de rester à la première place. Trois solutions sont offertes : 1) s’efforcer d’augmenter la demande primaire ; 2) contenir l’attaque de la concurrence à l’aide de stratégies offensives ou défensives ; 3) chercher à augmenter sa part du marché.
Dans la plupart des secteurs d’activité, il existe une entreprise reconnue comme le leader du marché. Le leader prend généralement l’initiative des modifications de prix, des lancements de nouveaux produits et possède le système de distribution le plus bas et le budget promotionnel le plus élève. Il constitue un pole de référence que les concurrents s’efforcent d’attaquer, d’imiter ou d’éviter. Dans ce groupe figurent les plus les plus connues de nos entreprises : Michelin (pneumatiques), L’Oréal (cosmétiques), Bic (stylobilles), Lesieur (huile alimentaire), etc…
A moins de jouir d’une situation de monopole légal, un leader doit rester constamment en éveil. La concurrence s’acharne en effet à attaquer ses positions et à réduire son emprise sur le marché. Une innovation réussie peut provoquer l’obsolescence (déclin de Paris-Match au profit des news magazines). Un conservatisme exagéré, engendrer l’assouplissement (perte des grands magasins au profit des grandes surfaces). Un mauvais contrôle de rentatabilité, entrainer la faillite (Creusot-Loire).
L’objectif d’un leader est de rester à la première place. Trois solutions sont offertes : 1) s’efforcer d’augmenter la demande primaire ; 2) contenir l’attaque de la concurrence à l’aide de stratégies offensives ou défensives ; 3) chercher à augmenter sa part du marché.
Dans la plupart des secteurs d’activité, il existe une entreprise reconnue comme le leader du marché. Le leader prend généralement l’initiative des modifications de prix, des lancements de nouveaux produits et possède le système de distribution le plus bas et le budget promotionnel le plus élève. Il constitue un pole de référence que les concurrents s’efforcent d’attaquer, d’imiter ou d’éviter. Dans ce groupe figurent les plus les plus connues de nos entreprises : Michelin (pneumatiques), L’Oréal (cosmétiques), Bic (stylobilles), Lesieur (huile alimentaire), etc…
A moins de jouir d’une situation de monopole légal, un leader doit rester constamment en éveil. La concurrence s’acharne en effet à attaquer ses positions et à réduire son emprise sur le marché. Une innovation réussie peut provoquer l’obsolescence (déclin de Paris-Match au profit des news magazines). Un conservatisme exagéré, engendrer l’assouplissement (perte des grands magasins au profit des grandes surfaces). Un mauvais contrôle de rentatabilité, entrainer la faillite (Creusot-Loire).
L’objectif d’un leader est de rester à la première place. Trois solutions sont offertes : 1) s’efforcer d’augmenter la demande primaire ; 2) contenir l’attaque de la concurrence à l’aide de stratégies offensives ou défensives ; 3) chercher à augmenter sa part du marché.
Dans la plupart des secteurs d’activité, il existe une entreprise reconnue comme le leader du marché. Le leader prend généralement l’initiative des modifications de prix, des lancements de nouveaux produits et possède le système de distribution le plus bas et le budget promotionnel le plus élève. Il constitue un pole de référence que les concurrents s’efforcent d’attaquer, d’imiter ou d’éviter. Dans ce groupe figurent les plus les plus connues de nos entreprises : Michelin (pneumatiques), L’Oréal (cosmétiques), Bic (stylobilles), Lesieur (huile alimentaire), etc…
A moins de jouir d’une situation de monopole légal, un leader doit rester constamment en éveil. La concurrence s’acharne en effet à attaquer ses positions et à réduire son emprise sur le marché. Une innovation réussie peut provoquer l’obsolescence (déclin de Paris-Match au profit des news magazines). Un conservatisme exagéré, engendrer l’assouplissement (perte des grands magasins au profit des grandes surfaces). Un mauvais contrôle de rentatabilité, entrainer la faillite (Creusot-Loire).
L’objectif d’un leader est de rester à la première place. Trois solutions sont offertes : 1) s’efforcer d’augmenter la demande primaire ; 2) contenir l’attaque de la concurrence à l’aide de stratégies offensives ou défensives ; 3) chercher à augmenter sa part du marché.
Dans la plupart des secteurs d’activité, il existe une entreprise reconnue comme le leader du marché. Le leader prend généralement l’initiative des modifications de prix, des lancements de nouveaux produits et possède le système de distribution le plus bas et le budget promotionnel le plus élève. Il constitue un pole de référence que les concurrents s’efforcent d’attaquer, d’imiter ou d’éviter. Dans ce groupe figurent les plus les plus connues de nos entreprises : Michelin (pneumatiques), L’Oréal (cosmétiques), Bic (stylobilles), Lesieur (huile alimentaire), etc…
A moins de jouir d’une situation de monopole légal, un leader doit rester constamment en éveil. La concurrence s’acharne en effet à attaquer ses positions et à réduire son emprise sur le marché. Une innovation réussie peut provoquer l’obsolescence (déclin de Paris-Match au profit des news magazines). Un conservatisme exagéré, engendrer l’assouplissement (perte des grands magasins au profit des grandes surfaces). Un mauvais contrôle de rentatabilité, entrainer la faillite (Creusot-Loire).
L’objectif d’un leader est de rester à la première place. Trois solutions sont offertes : 1) s’efforcer d’augmenter la demande primaire ; 2) contenir l’attaque de la concurrence à l’aide de stratégies offensives ou défensives ; 3) chercher à augmenter sa part du marché.
Dans la plupart des secteurs d’activité, il existe une entreprise reconnue comme le leader du marché. Le leader prend généralement l’initiative des modifications de prix, des lancements de nouveaux produits et possède le système de distribution le plus bas et le budget promotionnel le plus élève. Il constitue un pole de référence que les concurrents s’efforcent d’attaquer, d’imiter ou d’éviter. Dans ce groupe figurent les plus les plus connues de nos entreprises : Michelin (pneumatiques), L’Oréal (cosmétiques), Bic (stylobilles), Lesieur (huile alimentaire), etc…
A moins de jouir d’une situation de monopole légal, un leader doit rester constamment en éveil. La concurrence s’acharne en effet à attaquer ses positions et à réduire son emprise sur le marché. Une innovation réussie peut provoquer l’obsolescence (déclin de Paris-Match au profit des news magazines). Un conservatisme exagéré, engendrer l’assouplissement (perte des grands magasins au profit des grandes surfaces). Un mauvais contrôle de rentatabilité, entrainer la faillite (Creusot-Loire).
L’objectif d’un leader est de rester à la première place. Trois solutions sont offertes : 1) s’efforcer d’augmenter la demande primaire ; 2) contenir l’attaque de la concurrence à l’aide de stratégies offensives ou défensives ; 3) chercher à augmenter sa part du marché.
Dans la plupart des secteurs d’activité, il existe une entreprise reconnue comme le leader du marché. Le leader prend généralement l’initiative des modifications de prix, des lancements de nouveaux produits et possède le système de distribution le plus bas et le budget promotionnel le plus élève. Il constitue un pole de référence que les concurrents s’efforcent d’attaquer, d’imiter ou d’éviter. Dans ce groupe figurent les plus les plus connues de nos entreprises : Michelin (pneumatiques), L’Oréal (cosmétiques), Bic (stylobilles), Lesieur (huile alimentaire), etc…
A moins de jouir d’une situation de monopole légal, un leader doit rester constamment en éveil. La concurrence s’acharne en effet à attaquer ses positions et à réduire son emprise sur le marché. Une innovation réussie peut provoquer l’obsolescence (déclin de Paris-Match au profit des news magazines). Un conservatisme exagéré, engendrer l’assouplissement (perte des grands magasins au profit des grandes surfaces). Un mauvais contrôle de rentabilité, entrainer la faillite (Creusot-Loire).
L’objectif d’un leader est de rester à la première place. Trois solutions sont offertes : 1) s’efforcer d’augmenter la demande primaire ; 2) contenir l’attaque de la concurrence à l’aide de stratégies offensives ou défensives ; 3) chercher à augmenter sa part du marché.
Translation - English In most sectors of activity, there exists an enterprise known as the market leader. The leader generally initiates the modifications of prices, launches new products and owns the largest distribution system and the most costly promotional budget. It represents a pole of reference which the competitors try to attack, to imitate or to avoid. The most known enterprises stand out in that group: Michelin (pneumatic), L’Oreal (cosmetic), Bic (stylo), Lesieur (cooking oil), etc…
Unless the leader enjoys a legal monopoly, it must remain constantly alert. The competition keeps challenging its position and weakening its impact on the market. One innovation can cause obsolescence (decline of Paris-Match to the benefits of news magazines). An extreme conservatism can cause a softening (lost of the big stores at the expense of large surfaces). A bad control of profitability can cause a loss (Creusot-Loire)
The goal of a leader is to remain in first place. Three solutions stand out: 1) Try to increase the initial demand: 2) Counterattack the competitor through offensive and defensive strategies. : 3) Try to increase its market share.
In most sectors of activity, there exists an enterprise known as the market leader. The leader generally initiates the modifications of prices, launches new products and owns the largest distribution system and the most costly promotional budget. It represents a pole of reference which the competitors try to attack, to imitate or to avoid. The most known enterprises stand out in that group: Michelin (pneumatic), L’Oreal (cosmetic), Bic (stylo), Lesieur (cooking oil), etc…
Unless the leader enjoys a legal monopoly, it must remain constantly alert. The competition keeps challenging its position and weakening its impact on the market. One innovation can cause obsolescence (decline of Paris-Match to the benefits of news magazines). An extreme conservatism can cause a softening (lost of the big stores at the expense of large surfaces). A bad control of profitability can cause a loss (Creusot-Loire)
The goal of a leader is to remain in first place. Three solutions stand out: 1) Try to increase the initial demand: 2) Counterattack the competitor through offensive and defensive strategies. : 3) Try to increase its market share.
In most sectors of activity, there exists an enterprise known as the market leader. The leader generally initiates the modifications of prices, launches new products and owns the largest distribution system and the most costly promotional budget. It represents a pole of reference which the competitors try to attack, to imitate or to avoid. The most known enterprises stand out in that group: Michelin (pneumatic), L'Oréal (cosmetic), Bic (stylo), Lesieur (cooking oil), etc…
Unless the leader enjoys a legal monopoly, it must remain constantly alert. The competition keeps challenging its position and weakening its impact on the market. One innovation can cause obsolescence (decline of Paris-Match to the benefits of news magazines). An extreme conservatism can cause a softening (lost of the big stores at the expense of large surfaces). A bad control of profitability can cause a loss (Creusot-Loire)
The goal of a leader is to remain in first place. Three solutions stand out: 1) Try to increase the initial demand: 2) Counterattack the competitor through offensive and defensive strategies. : 3) Try to increase its market share.
French to English: LA STRUCTURE PAR CLIENTS General field: Marketing Detailed field: Business/Commerce (general)
Source text - French La structure par clients. L’entreprise peut également organiser sa force de vente par types de clientèles. Les clients peuvent alors être classés selon le secteur d’industrie, la taille, le volume d’achat ou l’ancienneté des contacts commerciaux.
L’avantage essentiel d’une telle structure est qu’elle permet au représentant de bien connaitre les besoins spécifiques de ses clients. A un moment de son histoire, la société Shell France n’employait que des polyvalents, c’est-a-dire des représentants chargés de vendre l’ensemble des produits de la gamme. Elle a, par la suite, décidé de passer à une spécialisation par marchés : réseau station (station-service) ; chauffage domestique, clients industriels, parce que c’était une meilleure façon d’assurer le service à la clientele10. Une force de vente organisée par clients est souvent à l’ origine d’une réduction du coût global de la force de vente : un fabriquant de pompes utilisait jadis une force de vente uniquement composée d’ingénieures hautement qualifiés qui traitaient aussi bien avec des constructeurs de biens d’équipement (qui avaient besoin d’être en contact avec des représentant –techniciens) qu’avec des distributeurs (qui n’en avaient nul besoin). L’entreprise prit, par la suite, la décision de scinder sa force de vente en deux, et d affecter à la clientèle des distributeurs des représentants techniquement moins qualifiés, donc moins rémunérés.
L’inconvénient essentiel d’une structure par clients apparait lorsque les différents types de clients se trouvent être dispersés à travers tout le pays. Il y a, dans ce cas, des secteurs qui chevauchent, entrainant une augmentation des coûts.
10. Cas Shell. Document HEC-ISA,
Translation - English The structure by clients. The company can also organize its sales force by types of clients. The clients can be classified according to industrial sector, size, purchase volume or age of commercial contracts.
The essential advantage of such structure is that it allows the representatives to know well the specific needs of its clients. At one time in its history, the company Shell France employed polyvalent representatives only, meaning representatives responsible for selling the whole set of products. She then decided to adopt a market specialization. : network distribution (service- station), domestic heating, industrial clients, because it was the best way to assure services to clients10. A sales force structured by clients is often a basis for a global cost saving for that unit : a manufacturer of pumps would use in the past a sales force consisting exclusively of highly qualified engineers who would deal with manufacturers of equipment materials (who had a need for their services) as well as with distributors (who had no need for them}. The company took then the decision to split its sales force in two, and to assign less technically qualified technicians, consequently less remunerated, to the distribution sector.
The main disadvantage of a structure by clients is revealed when different types of client are established throughout the country. In this case, there is an overlapping of sectors which causes an increase in costs.
10. Cas Shell. Document HEC-ISA
French to English: LE ROLE DU MARKETING DANS LE MONDE D'AUJOURD'HUI General field: Marketing Detailed field: Business/Commerce (general)
Source text - French Le marketing trouve son origine dans le fait que l’homme éprouve des besoins et des désirs. Ceux-ci créent, chez l’individu, un état d’inconfort qui se dissipe avec l’acquisition de produits susceptibles de les satisfaire. Etant donné que de nombreux produits peuvent correspondre à un même besoin, le choix du consommateur fait intervenir les notions de valeur et de satisfaction. Les produits désirés peuvent être obtenus de quatre façons : par l’autoproduction, par la force, par la supplication et par l’échange. La plupart des sociétés humaines fonctionnent sur le principe de l’échange, selon lequel les individus se spécialisent dans la production de certains biens qu’ils échangent contre d’autres dont ils ont besoin. Un marché peut alors être défini comme un ensemble de personnes éprouvant un même besoin. Le marketing comprend toutes les activités qui concernent une action sur un marché, c’est-à-dire qui essaient de concrétiser ses possibilités d’échange.
Le marketing management est l’effort accompli en vue d’obtenir les résultats souhaités des échanges avec les marchés visés. Les tâches fondamentales du responsable marketing concernent la régulation du niveau, de la répartition dans le temps, et de la nature d’un produit, d’un service, d’une organisation, d’un lieu, d’une personne ou d’’une idée.
Cinq optiques sont à la disposition des entreprises dans la conduite de leurs activités d’échange. L’optique production suppose que le consommateur choisit les produits en fonction de leur accessibilité et disponibilité ; la tâche prioritaire du gestionnaire consiste à accroitre la capacité de production afin de réduire les prix. L’optique produit suppose que le consommateur répond positivement aux produits offerts à un prix raisonnable et que, par conséquent, peu d’efforts de marketing sont nécessaires. L’optique vente suppose que le consommateur n’achète pas de lui-même suffisamment de produits de l’entreprise, à moins qu’il ne fasse l’objet d’un effort de vente et d’une action promotionnelle substantielle. L’optique marketing soutient que la tâche fondamentale d’’une entreprise est d’identifier un ensemble précis de besoins, désirs et préférences du consommateur et de s’adapter en vue de produire les satisfactions désirées. L’optique du marketing sociétal, enfin, reconnait que la tâche fondamentale d’une entreprise soucieuse d’atteindre ses buts et assumer ses responsabilités, est d’engendrer la satisfaction et le bien -être à long terme du consommateur et de la société dans son ensemble.
L’intérêt éprouve à l’égard du marketing se développe à mesure qu’un nombre croissant d’organismes à caractère commercial, dans le secteur non lucratif ou en milieu international, prennent conscience de la contribution qu’il apporte à une efficacité accrue sur le marché.
Translation - English Marketing finds its origin from the fact that people experience needs and desires. This provokes in the individual an uncomfortable situation which tends to ease with acquisitions of products capable of satisfying it. Giving the fact that several products can match the same need, the consumer’s choice reflects the notions of value and satisfaction. The needed products can be acquired through four different ways: through self-production, force, and through exchange. Most human societies adopt the idea of exchange, according to which individuals specialize in the production of certain goods which they exchange against the ones they need. A market can then be defined as a whole group of people having the same needs. Marketing includes all activities geared towards an impact on the market, in other words, trying to induce possibility of exchanges.
Marketing management is all actions taken in view of obtaining the desired results from exchanges in the targeted market. The basic tasks of the marketing manager consist in setting standards, repartition in a timely manner, and nature of demand for a product, service, organization, place, person or idea.
Five approaches are available to enterprises in the conduct of their exchange activities. The production approach assumes that the consumer chooses his products according to accessibility and availability; the first priority of the manager is then to increase the production capacity order to reduce prices. The product approach assumes that the consumer responds posively to the products being offered at a reasonable price and consequently, little effort is then required. The sales approach assumes that the consumer does not buy spontaneously enough products from the enterprise unless there is a substantial sales effort to promote those products. The marketing approach supports the idea that the main task of an enterprise is to identify a whole set of needs, desires and preferences of the consumer and to adapt production in order to satisfy those desires. Finally, the societal marketing approach admits that the principal task of an enterprise which is determined to reach its goals and assumes its responsibilities is to generate satisfaction and long term well- being of consumers and society as a whole.
Interest in marketing grows as an increasing number of commercial organisms in the non lucrative sector or in the international world become conscious of the effective and accrued contribution which it brings to the market.
Marketing finds its origin from the fact that people experience needs and desires. This provokes in the individual an uncomfortable situation which tends to ease with acquisitions of products capable of satisfying it. Giving the fact that several products can match the same need, the consumer’s choice reflects the notions of value and satisfaction. The needed products can be acquired through four different ways: through self-production, force, and through exchange. Most human societies adopt the idea of exchange, according to which individuals specialize in the production of certain goods which they exchange against the ones they need. A market can then be defined as a whole group of people having the same needs. Marketing includes all activities geared towards an impact on the market, in other words, trying to induce possibility of exchanges.
Marketing management is all actions taken in view of obtaining the desired results from exchanges in the targeted market. The basic tasks of the marketing manager consist in setting standards, repartition in a timely manner, and nature of demand for a product, service, organization, place, person or idea.
Five approaches are available to enterprises in the conduct of their exchange activities. The production approach assumes that the consumer chooses his products according to accessibility and availability; the first priority of the manager is then to increase the production capacity order to reduce prices. The product approach assumes that the consumer responds posively to the products being offered at a reasonable price and consequently, little effort is then required. The sales approach assumes that the consumer does not buy spontaneously enough products from the enterprise unless there is a substantial sales effort to promote those products. The marketing approach supports the idea that the main task of an enterprise is to identify a whole set of needs, desires and preferences of the consumer and to adapt production in order to satisfy those desires. Finally, the societal marketing approach admits that the principal task of an enterprise which is determined to reach its goals and assumes its responsibilities is to generate satisfaction and long term well- being of consumers and society as a whole.
Interest in marketing grows as an increasing number of commercial organisms in the non lucrative sector or in the international world become conscious of the effective and accrued contribution which it brings to the market.
Marketing finds its origin from the fact that people experience needs and desires. This provokes in the individual an uncomfortable situation which tends to ease with acquisitions of products capable of satisfying it. Giving the fact that several products can match the same need, the consumer’s choice reflects the notions of value and satisfaction. The needed products can be acquired through four different ways: through self-production, force, and through exchange. Most human societies adopt the idea of exchange, according to which individuals specialize in the production of certain goods which they exchange against the ones they need. A market can then be defined as a whole group of people having the same needs. Marketing includes all activities geared towards an impact on the market, in other words, trying to induce possibility of exchanges.
Marketing management is all actions taken in view of obtaining the desired results from exchanges in the targeted market. The basic tasks of the marketing manager consist in setting standards, repartition in a timely manner, and nature of demand for a product, service, organization, place, person or idea.
Five approaches are available to enterprises in the conduct of their exchange activities. The production approach assumes that the consumer chooses his products according to accessibility and availability; the first priority of the manager is then to increase the production capacity order to reduce prices. The product approach assumes that the consumer responds posively to the products being offered at a reasonable price and consequently, little effort is then required. The sales approach assumes that the consumer does not buy spontaneously enough products from the enterprise unless there is a substantial sales effort to promote those products. The marketing approach supports the idea that the main task of an enterprise is to identify a whole set of needs, desires and preferences of the consumer and to adapt production in order to satisfy those desires. Finally, the societal marketing approach admits that the principal task of an enterprise which is determined to reach its goals and assumes its responsibilities is to generate satisfaction and long term well- being of consumers and society as a whole.
Interest in marketing grows as an increasing number of commercial organisms in the non lucrative sector or in the international world become conscious of the effective and accrued contribution which it brings to the market.
Marketing finds its origin from the fact that people experience needs and desires. This provokes in the individual an uncomfortable situation which tends to ease with acquisitions of products capable of satisfying it. Giving the fact that several products can match the same need, the consumer’s choice reflects the notions of value and satisfaction. The needed products can be acquired through four different ways: through self-production, force, and through exchange. Most human societies adopt the idea of exchange, according to which individuals specialize in the production of certain goods which they exchange against the ones they need. A market can then be defined as a whole group of people having the same needs. Marketing includes all activities geared towards an impact on the market, in other words, trying to induce possibility of exchanges.
Marketing management is all actions taken in view of obtaining the desired results from exchanges in the targeted market. The basic tasks of the marketing manager consist in setting standards, repartition in a timely manner, and nature of demand for a product, service, organization, place, person or idea.
Five approaches are available to enterprises in the conduct of their exchange activities. The production approach assumes that the consumer chooses his products according to accessibility and availability; the first priority of the manager is then to increase the production capacity order to reduce prices. The product approach assumes that the consumer responds posively to the products being offered at a reasonable price and consequently, little effort is then required. The sales approach assumes that the consumer does not buy spontaneously enough products from the enterprise unless there is a substantial sales effort to promote those products. The marketing approach supports the idea that the main task of an enterprise is to identify a whole set of needs, desires and preferences of the consumer and to adapt production in order to satisfy those desires. Finally, the societal marketing approach admits that the principal task of an enterprise which is determined to reach its goals and assumes its responsibilities is to generate satisfaction and long term well- being of consumers and society as a whole.
Interest in marketing grows as an increasing number of commercial organisms in the non lucrative sector or in the international world become conscious of the effective and accrued contribution which it brings to the market.
Marketing finds its origin from the fact that people experience needs and desires. This provokes in the individual an uncomfortable situation which tends to ease with acquisitions of products capable of satisfying it. Giving the fact that several products can match the same need, the consumer’s choice reflects the notions of value and satisfaction. The needed products can be acquired through four different ways: through self-production, force, and through exchange. Most human societies adopt the idea of exchange, according to which individuals specialize in the production of certain goods which they exchange against the ones they need. A market can then be defined as a whole group of people having the same needs. Marketing includes all activities geared towards an impact on the market, in other words, trying to induce possibility of exchanges.
Marketing management is all actions taken in view of obtaining the desired results from exchanges in the targeted market. The basic tasks of the marketing manager consist in setting standards, repartition in a timely manner, and nature of demand for a product, service, organization, place, person or idea.
Five approaches are available to enterprises in the conduct of their exchange activities. The production approach assumes that the consumer chooses his products according to accessibility and availability; the first priority of the manager is then to increase the production capacity order to reduce prices. The product approach assumes that the consumer responds posively to the products being offered at a reasonable price and consequently, little effort is then required. The sales approach assumes that the consumer does not buy spontaneously enough products from the enterprise unless there is a substantial sales effort to promote those products. The marketing approach supports the idea that the main task of an enterprise is to identify a whole set of needs, desires and preferences of the consumer and to adapt production in order to satisfy those desires. Finally, the societal marketing approach admits that the principal task of an enterprise which is determined to reach its goals and assumes its responsibilities is to generate satisfaction and long term well- being of consumers and society as a whole.
Interest in marketing grows as an increasing number of commercial organisms in the non lucrative sector or in the international world become conscious of the effective and accrued contribution which it brings to the market.
Marketing finds its origin from the fact that people experience needs and desires. This provokes in the individual an uncomfortable situation which tends to ease with acquisitions of products capable of satisfying it. Giving the fact that several products can match the same need, the consumer’s choice reflects the notions of value and satisfaction. The needed products can be acquired through four different ways: through self-production, force, and through exchange. Most human societies adopt the idea of exchange, according to which individuals specialize in the production of certain goods which they exchange against the ones they need. A market can then be defined as a whole group of people having the same needs. Marketing includes all activities geared towards an impact on the market, in other words, trying to induce possibility of exchanges.
Marketing management is all actions taken in view of obtaining the desired results from exchanges in the targeted market. The basic tasks of the marketing manager consist in setting standards, repartition in a timely manner, and nature of demand for a product, service, organization, place, person or idea.
Five approaches are available to enterprises in the conduct of their exchange activities. The production approach assumes that the consumer chooses his products according to accessibility and availability; the first priority of the manager is then to increase the production capacity order to reduce prices. The product approach assumes that the consumer responds posively to the products being offered at a reasonable price and consequently, little effort is then required. The sales approach assumes that the consumer does not buy spontaneously enough products from the enterprise unless there is a substantial sales effort to promote those products. The marketing approach supports the idea that the main task of an enterprise is to identify a whole set of needs, desires and preferences of the consumer and to adapt production in order to satisfy those desires. Finally, the societal marketing approach admits that the principal task of an enterprise which is determined to reach its goals and assumes its responsibilities is to generate satisfaction and long term well- being of consumers and society as a whole.
Interest in marketing grows as an increasing number of commercial organisms in the non lucrative sector or in the international world become conscious of the effective and accrued contribution which it brings to the market.
Marketing finds its origin from the fact that people experience needs and desires. This provokes in the individual an uncomfortable situation which tends to ease with acquisitions of products capable of satisfying it. Giving the fact that several products can match the same need, the consumer’s choice reflects the notions of value and satisfaction. The needed products can be acquired through four different ways: through self-production, force, and through exchange. Most human societies adopt the idea of exchange, according to which individuals specialize in the production of certain goods which they exchange against the ones they need. A market can then be defined as a whole group of people having the same needs. Marketing includes all activities geared towards an impact on the market, in other words, trying to induce possibility of exchanges.
Marketing management is all actions taken in view of obtaining the desired results from exchanges in the targeted market. The basic tasks of the marketing manager consist in setting standards, repartition in a timely manner, and nature of demand for a product, service, organization, place, person or idea.
Five approaches are available to enterprises in the conduct of their exchange activities. The production approach assumes that the consumer chooses his products according to accessibility and availability; the first priority of the manager is then to increase the production capacity order to reduce prices. The product approach assumes that the consumer responds posively to the products being offered at a reasonable price and consequently, little effort is then required. The sales approach assumes that the consumer does not buy spontaneously enough products from the enterprise unless there is a substantial sales effort to promote those products. The marketing approach supports the idea that the main task of an enterprise is to identify a whole set of needs, desires and preferences of the consumer and to adapt production in order to satisfy those desires. Finally, the societal marketing approach admits that the principal task of an enterprise which is determined to reach its goals and assumes its responsibilities is to generate satisfaction and long term well- being of consumers and society as a whole.
Interest in marketing grows as an increasing number of commercial organisms in the non lucrative sector or in the international world become conscious of the effective and accrued contribution which it brings to the market.
French to English: Whether a currency is cheap or dear is not always a good guide to its fortunes General field: Bus/Financial Detailed field: Finance (general)
Source text - French The dollar reached a peak against a basket of other currencies a year ago and has not threatened to regain it. Gurus of the exchange foreign-exchange markets agree that 2018 is likely to be another year of modest decline. That is because of three sources of downward pressure.
The first relates to the world economy. The dollar’s descent is not so much a judgment on America’s fitness as a sign of the burgeoning health of other places. So long as America was one of the only places that could be relied upon for economic growth, there was a powerful logic to the dollar’s strength. A broad-based global upswing_evident in everything from booming stock markets to a surging oil prices_means that investors are now rushing into currencies other than the dollar. That effect is proving stronger than the expectation that American firms will repatriate more profits thanks to the recent tax cut. And it seems likely to continue.
The second source of downward pressure reflects a change in policymakers’ attitudes. Until quite recently, no country seemed keen on strong exchange rate. A cheap currency was prized. Curbing imports and boosting exports was a way to grab a bigger share of scarce world demand. In 2010 Brazil’s finance minister said that a ‘’currency war’’ had broken out, with vying to weaken their exchange rates using weapons such as quantitative easing (printing money to buy bonds) or capital controls. Rich-world central banks feared that even a hint of tighter monetary policy might cause their currencies to surge against their peers, to their economy’s detriment. But now that global growth is buoyant, few countries seem to mind much if their currency rises. Interest rates have been raised, not only in America but also in Canada and Britain. The European Central Bank (ECB) has reduced its bond-buying programme, as has Japan’s central bank.
Source: The Economist 20 Janvier 2018
Translation - English Un an de cela, le dollar affichait une hausse vis-à-vis d’un lot d’autres devises et n’a tenté de s’ajuster. Les gourous du marché des changes admettent que 2018 est susceptible d’être une année de baisse modérée à cause de trois sources de pression vers le bas.
La première se réfère à l’économie mondiale. La chute du dollar n’est pas tellement un reflet de la santé robuste des Etats-Unis qu’un signe de la situation florissante des autre pays. Aussi longtemps que les Etats-Unis furent l’un des pays sur lequel se reposait la croissance économique, il se dégageait une logique solide concernant la puissance du dollar. Une montée globale élargie_évidente partout, partant de la performance des marchés boursiers jusqu’à une montée des prix du pétrole_ signifie que les investisseurs se tournent désormais vers les devises autres que le dollar. Cette réalité se révèle plus évidente que les attentes quant aux rapatriements de profits par les firmes américaines suite à la baisse récente des taxes. Ceci tend à perdurer.
La seconde source de pression à la baisse reflète un changement dans les attitudes des législateurs. Jusqu'à récemment, aucun pays ne semblait être en faveur d’un taux de change fort. Une devise faible était recherchée. Réduire les importations et augmenter les exportations étaient un moyen de s’emparer d’une plus grande part du faible marché mondial. En 2010, le ministre des finances du Brésil eut à déclarer qu’une ‘’guerre de changes’’ avait éclaté entre les pays qui cherchent à affaiblir leur monnaie en utilisant des politiques telles que les assouplissements quantitatifs (impression de monnaie pour acheter des bons) ou des contrôles de capitaux. Les banques centrales des pays riches craignent que même une rumeur d’une politique monétaire plus restrictive puisse causer une hausse de leurs monnaies par rapport aux autres et au détriment de leurs économies. Cependant, puisque la croissance mondiale est forte, rares sont les pays qui soient préoccupés par une hausse quelconque de leur monnaie. Les taux d’intérêts ont subi une augmentation non seulement aux Etats -Unis mais également au Canada et en Grande Bretagne. La Banque Centrale Européenne (ECB) a ralenti son programme d’achats de bons, ainsi que la banque centrale du japon.
Source : The Economist du 20 Janvier 2018-01-20
French to English: LE SYSTEME COMMERCIAL FRANCAIS General field: Marketing Detailed field: Business/Commerce (general)
Source text - French L’appareil commercial français se compose de tout un ensemble d’organismes conçus pour acheminer les produits de leur lieu de production à leur lieu de consommation.
Il est devenu classique de distinguer le commerce intégré qui prend en charge toutes les fonctions intervenant entre le producteur et le consommateur, le commerce indépendant, composé de grossistes et de détaillants, et le commerce associé, au statut intermédiaire. Parmi les entreprises de commerce intégré se rangent les grands magasins, les magasins populaires, les maisons à succursales multiples, les discounters, les magasins d’usine et, dans le secteur non capitaliste, les coopératives. Les grossistes et détaillants peuvent, quant à eux, être ou non spécialisés et offrir une gamme de services plus ou moins étoffée. Le commerce associé, enfin, comprend les groupements de grossistes, les groupements de détaillants, les chaines volontaires et la franchise.
Chacune de ces formes de commerce peut faire appel à une ou plusieurs méthodes de vente. Parmi celles-ci, on a coutume de distinguer : la vente par correspondance, la vente à domicile, la vente sur marché, la vente par tournée, la vente sur commande préalable, la vente automatique et la vente en magasin, que celui-ci soit traditionnel ou en libre service (hypermarché, supermarché, superette ou mini-libre service). L’évolution de l’appareil commercial français est complexe, même si certains croyaient à l’existence de cycles qui font se succéder les différentes formes de commerce selon des schémas relativement identiques.
Les principales décisions auxquelles se sont confrontées les entreprises de distribution concernent la zone de chalandise et l’identification du marché cible ainsi que la mise en forme d’une politique d’assortiments, de prix, de communication et de répartition des points de vente.
Enfin, au moment ou la plupart des entreprises reconnaissent le bien-fondé de l’optique marketing, un bon nombre d’entre elles commence à prendre en considération la notion de distribution physique. La distribution physique constitue en effet tout a la fois un terrain d’économie potentielle, d’amélioration du service client et d’avantage concurrentiel. Lorsque le responsable des transports, le responsable des stocks et le responsable des entrepôts prennent une décision dans l’optique de leur fonction spécifique, ils influent sans s’en rendre compte sur leurs coûts respectifs et sur le développement de la demande. Dans l’optique de la distribution physique, de telles décisions doivent être prises dans le cadre d’un système global unifié. Le problème essentiel devient alors celui de la conception du système qui minimisera le coût de mise en œuvre d’un niveau donné de service offert au client.
Translation - English The French commercial system includes a whole set of organism for bringing the products from the place of production to the place of consumption.
It becomes classic to differentiate the integrated dealers which facilitate all the functions coming into play between the producer and the consumer, the independent dealers which includes wholesalers and retailers and the associated dealers holding an intermediary status. The integrated dealers include the large department stores, the chain stores, the discount stores, the factory stores and the non capitalist cooperative stores. The independent wholesalers and retailers can be either specialized or not, but offer a set of services being more or less broad. Finally, the associated dealers include wholesales, retails, voluntary chains and franchise groups.
Each one of those commercial entities can adopt one or several sales methods. Among those methods we usually distinguish: sales by correspondence, garage sales, market sales, walk-in sales, pre-order sales, automatic sales, store sales, whether those sales are traditional or free services (hypermarkets, supermarkets, mini- markets or mini- free services). The evolutionary process of this French commercial system is complex, even if some people believe in the existence of cycles which favor the succession of different forms of commerce according to relatively identical schemes.
The distribution firms must make decisions concerning the traffic area and the identification of target markets as well as implementation of policies regarding selections, prices, communication and repartition of point of sales.
Finally, as most firms acknowledge the rationale for marketing concepts, an increasing number begins to consider the notion of physical distribution. In fact, this notion comprises a ground for potential savings, client improved services and competitive advantages. When managers in charge of transports, of inventory and of warehouses make independent decisions in respect to their specific functions, their decisions have incidences on their respective costs and promotion of demand. From a physical distribution perspective, such decisions must be adopted in the context of a harmonious global system. The goal becomes to design a system which minimizes costs while offering a given level of services to clients.
French to English: The Financial Statements General field: Bus/Financial Detailed field: Accounting
Source text - French What are the firm’s financial resources? How much and to whom is it indebted? Is the business profitable? Are the pricing policies and the marketing strategies paying off in profits? Can the firm sustain the stress of future growth without recourse to external sources? The answers to these questions play a dominant role in setting the framework of management decision making. To provide an aid in analyzing these problems, a variety of financial tools have evolved. Their use is not confined to internal analysis alone, but also to external relationship of the firm. Suppliers, financial institutions, investors, and speculators all have a vital interest in the health of the company as potential creditors or investors. At times, even customers of the firm examine the firm’s statements; for example, public authorities and large corporations frequently insist that potential suppliers soliciting sizable orders to be financially in a position to assure delivery of the order.
We have here a description of the six principal financial tools used in financial analysis by the financial analyst, investors, and others interested in the financial condition of the firm as follows.
1. The Balance Sheet. This is the principal guide to the first question_’’How do we stand?’’ It gives management a snap shot view at a moment in time. It tells how the company as of a particular date looks from a financial point of view.
2. The Income Statement (Profit and Loss Statement). Have our strategies paid off in profits? Are there costly or weak areas in our operations? The income statement provides a description of the dollar-profit success of our business in the course of a specific period of time, usually an interval of months, rarely more than a year. The income statement is a measure of past performance.
3. The Source and Application of Funds Statements. In analyzing the past, it is essential to be able to pinpoint how the financial resources of the firm were utilized. As an approach to answering this question, we compare the balance sheet at the beginning and at the end of the period under study. The source and applications of statement is used to indicate the flow of funds as reflected by changes in the firm’s assets and liabilities.
4. . The Cash-Flow Budget. In the course of our projected future business, we will run into periods of cash shortages; into times when obligations become due while the cash with which to meet them is, for one reason or another, not yet available? It is essential that we forecast our cash requirements and sources of funds in order to answer this question. The cash-flow budget is used to project cash needs; to identify cash surpluses and to highlight possible critical points in the income and outgo of cash.
5. The Pro Forma (Projected) Income Statement. What success do we anticipate in the near future? Based on the past income performance and the vision of things to come, management continually attempts to project anticipated business and profits. The pro forma income statement is used to quantify the future prospects of the planned operations.
6. The Pro Forma (Projected) Balance Sheet. When enough information is not available to prepare a complete cash-flow balance sheet to determine the needs for funds on a specific forecast. The pro forma balance sheet pinpoints the firm’s need for funds on a specific date.
A word of caution is in order before the construction and detailed application of the tools listed above is examined. It must be kept in mind that these tools are take-off points for more detailed investigations rather than complete answers in themselves, serving to narrow the range of more detailed analysis rather than supplanting the need for it. The lean, hard look of dollars signs sometimes beguiles the student_and the financial manager_into forgetting that these seemingly clear-cut indicators can conceal, as well as reveal, the realities of the business. The greatest value of these financial tools is not is not in providing clear-cut answers to the company’s problems, but rather in indicating potential spots. Intensive research costs money and manpower. Financial statements and tools are used to highlight the areas that are most in need of more detailed analysis.
Y. G., Inc., Balance Sheet as of December 31, 2006 (Figures rounded to nearest $1000)
Assets
Current Assets: $ 603
Accounts Receivable 1468
Inventories 2610
Prepayments 19
Total current assets $4700
Fixed assets:
Machinery 742
Less: depreciation 132 610
Leasehold improvement 339
Less: depreciation 43 296
Total fixed assets 906
Total assets $5606
Liabilities
Current liabilities:
Accounts payable $ 633
Notes payable to banks 675
Accruals 433
Federal income tax 459
Total current liabilities $2200
Long term liabilities
5% debentures due 2020 700
Owners equity (net worth)
Common stocks ($1 share) 612
Retained earnings 2094 $2706
Total liabilities and equity $5606
Y. G., Inc. Income Statement for Fiscal Year Ending December31, 2006. (Figures are rounded to the nearest $1000)
Net sales $9995
Cost of goods sold 6643
Gross margin 3352
Selling expenses:
Advertising 185
Shipping 74
Salesmen salaries and commissions 442
Field servicing 510
Total selling expenses $1211
Research and development 671
Administrative expenses:
Officers salaries 185
Administrative overhead 342
Total administrative expense 552
Interest expense 10
Net income before taxes 908
Less: taxes 459
Net income after taxes 449
Dividends 61
Increase in retained earnings 388
Translation - English Quelles sont les ressources financières d’une entreprise ? Combien et à qui doit elle ? Est-ce que ses affaires sont profitables ? La politique des prix et les stratégies de marché sont-elles profitables ? L’entreprise peut-elle supporter les incidences d’une croissance éventuelle sans recours à l’aide externe. ? Les réponses à ces questions jouent un rôle important dans le contexte d’une politique à adopter par les gestionnaires. Afin d’aider à l’analyse de ces problèmes, une série d’outils ont été développés. Leur utilisation ne s’arrête pas aux analyses internes seulement, mais également aux rapports externes de l’entreprise. Fournisseurs, institutions financières, investisseurs et spéculateurs, tous ont un intérêt dans la santé financière de l’entreprise en temps que créanciers potentiels et investisseurs. Des fois, même les clients de l’entreprise examinent ces rapport ; par exemple, les autorités publiques et les grandes compagnies insistent souvent que les fournisseurs potentiels qui sollicitent de grandes commandes soient en position de garantir ces commandes.
Nous allons procéder à une description des principaux outils utilisés dans l’analyse financière par les gestionnaires, les analystes financiers, les investisseurs, les créanciers et autres intéressés dans la situation de l’entreprise comme suit.
1. Le Bilan. C’est le guide principal à la première question ’Quelle est la situation’ ? Il fournit aux gestionnaires une image instantanée dans le temps. Il indique la situation d’une entreprise d’un point de vue financier et dans un temps précis.
2. Le Compte des Résultat. Nos stratégies ont elles été rentables ? Quelles sont les points couteux ou faibles de nos opérations ? Le compte des résultats fournit une description du rendement en termes de profits en dollars de notre entreprise pour une période spécifique, habituellement pour un intervalle de mois, plus rarement de plus d’une année. Le compte des résultats est une mesure de la performance antérieure.
3. Le Tableau Des Flux De Trésorerie. En analysant le passé, il importe d’être en mesure d’identifier la façon dont les ressources financières de l’entreprise ont été utilisées. La première approche pour répondre a cette question est de comparer les bilans au début et à la fin de la période considérée. Le tableau des flux de trésorerie permet d’indiquer le flux de fonds reflété dans les changements au niveau des actifs et passifs de l’entreprise.
4. Budget de Trésorerie. Au cours de nos transactions futures, nous allons faire face à des périodes de manque de liquidités ; des périodes ou des obligations arrivent à échéance alors que l’argent pour les payer n’est pas disponible pour une raison ou une autre. Il est essentiel de faire des prévisions concernant les besoins en liquidités et les provenances de fonds afin de répondre à cette question. Le budget de trésorerie permet de projeter les besoins en liquidités ; d’identifier les surplus de liquidités et de souligner les points critiques dans les rentrées et sorties d’argent.
5. Le Compte des Résultats Pro Forma (Projeté). Quel sont les perspectives de réussite éventuelle ? Se basant sur la performance financière du passe et la vision des événements éventuels, le gestionnaire essaie toujours de projeter les anticipations d’affaires et de profits. Le compte de résultat pro forma permet de quantifier les perspectives futures des opérations planifiées.
6. Le Bilan Pro Forma (Projeté). Quand il n’y a pas assez d’information disponible pour préparer un budget de trésorerie complet, l’analyste financier préparera un bilan pro forma afin de déterminer les besoins de fonds à des dates précises et selon des prévisions spécifiques. Le bilan pro forma indique les besoins en fonds de l’entreprise a une date précises.
Un rappel de prudence est nécessaire avant l’examinassions du montage et de l’application des outils listés plus haut. On doit garder à l’esprit que ces outils sont des points de départ pour des investigations plus pointues plutôt que des réponses complètes en soi. Ils peuvent réduire la gamme d’’additionnelles analyses détaillées plutôt que de supplanter leur nécessité. L’aspect simple, rigide du signe dollar porte parfois l’étudiant_ l’analyste financier_à oublier que ces indicateurs apparemment clairs peuvent cacher, aussi bien que révéler, les réalités de l’entreprise. La plus grande valeur de ces outils financiers ne réside pas dans l’émission de réponses nettes aux problèmes de l’entreprise, mais plutôt dans l’identification des points potentiellement à problèmes. Les recherches intensives exigent de l’argent et du personnel. Les états financiers et les outils sont utilisés pour mettre en relief les points qui requièrent davantage d’analyses détaillées.
Y. G., Inc., Bilan au 31 Décembre 2006 (Les chiffres sont arrondis au dixième le plus proche)
Actifs courants :
Cash $ 603
Comptes à recevoir 1468
Inventaire 2610
Paiements anticipés 19
Total des actifs courants $4700
Actifs immobilisés :
Machinerie 742
Moins : amortissement 132 610
Améliorations locatives 339
Moins : amortissement 43 296
Total des actifs immobilisés 906
Total des actifs $5606
Passifs
Passifs courants :
Comptes exigibles $ 633
Effets à payer aux banques 675
Charges à payer 433
Impôt fédéral sur revenu 459
Total des passifs courants $2200
Dettes à long terne :
5% obligation due 2020 700
Capitaux propres (valeur nette)
Actions ordinaires ($1 par action) 612
Bénéfices non distribués 2094 2706
Total des passifs et capitaux propres $5606
Quelles sont les ressources financières d’une entreprise ? Combien et à qui doit elle ? Est-ce que ses affaires sont profitables ? La politique des prix et les stratégies de marché sont-elles profitables ? L’entreprise peut-elle supporter les incidences d’une croissance éventuelle sans recours à l’aide externe. ? Les réponses à ces questions jouent un rôle important dans le contexte d’une politique à adopter par les gestionnaires. Afin d’aider à l’analyse de ces problèmes, une série d’outils ont été développés. Leur utilisation ne s’arrête pas aux analyses internes seulement, mais également aux rapports externes de l’entreprise. Fournisseurs, institutions financières, investisseurs et spéculateurs, tous ont un intérêt dans la santé financière de l’entreprise en temps que créanciers potentiels et investisseurs. Des fois, même les clients de l’entreprise examinent ces rapport ; par exemple, les autorités publiques et les grandes compagnies insistent souvent que les fournisseurs potentiels qui sollicitent de grandes commandes soient en position de garantir ces commandes.
Nous allons procéder à une description des principaux outils utilisés dans l’analyse financière par les gestionnaires, les analystes financiers, les investisseurs, les créanciers et autres intéressés dans la situation de l’entreprise comme suit.
1. Le Bilan. C’est le guide principal à la première question ’Quelle est la situation’ ? Il fournit aux gestionnaires une image instantanée dans le temps. Il indique la situation d’une entreprise d’un point de vue financier et dans un temps précis.
2. Le Compte des Résultat. Nos stratégies ont elles été rentables ? Quelles sont les points couteux ou faibles de nos opérations ? Le compte des résultats fournit une description du rendement en termes de profits en dollars de notre entreprise pour une période spécifique, habituellement pour un intervalle de mois, plus rarement de plus d’une année. Le compte des résultats est une mesure de la performance antérieure.
3. Le Tableau Des Flux De Trésorerie. En analysant le passé, il importe d’être en mesure d’identifier la façon dont les ressources financières de l’entreprise ont été utilisées. La première approche pour répondre a cette question est de comparer les bilans au début et à la fin de la période considérée. Le tableau des flux de trésorerie permet d’indiquer le flux de fonds reflété dans les changements au niveau des actifs et passifs de l’entreprise.
4. Budget de Trésorerie. Au cours de nos transactions futures, nous allons faire face à des périodes de manque de liquidités ; des périodes ou des obligations arrivent à échéance alors que l’argent pour les payer n’est pas disponible pour une raison ou une autre. Il est essentiel de faire des prévisions concernant les besoins en liquidités et les provenances de fonds afin de répondre à cette question. Le budget de trésorerie permet de projeter les besoins en liquidités ; d’identifier les surplus de liquidités et de souligner les points critiques dans les rentrées et sorties d’argent.
5. Le Compte des Résultats Pro Forma (Projeté). Quel sont les perspectives de réussite éventuelle ? Se basant sur la performance financière du passe et la vision des événements éventuels, le gestionnaire essaie toujours de projeter les anticipations d’affaires et de profits. Le compte de résultat pro forma permet de quantifier les perspectives futures des opérations planifiées.
6. Le Bilan Pro Forma (Projeté). Quand il n’y a pas assez d’information disponible pour préparer un budget de trésorerie complet, l’analyste financier préparera un bilan pro forma afin de déterminer les besoins de fonds à des dates précises et selon des prévisions spécifiques. Le bilan pro forma indique les besoins en fonds de l’entreprise a une date précises.
Un rappel de prudence est nécessaire avant l’examinassions du montage et de l’application des outils listés plus haut. On doit garder à l’esprit que ces outils sont des points de départ pour des investigations plus pointues plutôt que des réponses complètes en soi. Ils peuvent réduire la gamme d’’additionnelles analyses détaillées plutôt que de supplanter leur nécessité. L’aspect simple, rigide du signe dollar porte parfois l’étudiant_ l’analyste financier_à oublier que ces indicateurs apparemment clairs peuvent cacher, aussi bien que révéler, les réalités de l’entreprise. La plus grande valeur de ces outils financiers ne réside pas dans l’émission de réponses nettes aux problèmes de l’entreprise, mais plutôt dans l’identification des points potentiellement à problèmes. Les recherches intensives exigent de l’argent et du personnel. Les états financiers et les outils sont utilisés pour mettre en relief les points qui requièrent davantage d’analyses détaillées.
Y. G., Inc., Bilan au 31 Décembre 2006 (Les chiffres sont arrondis au dixième le plus proche)
Actifs courants :
Cash $ 603
Comptes à recevoir 1468
Inventaire 2610
Paiements anticipés 19
Total des actifs courants $4700
Actifs immobilisés :
Machinerie 742
Moins : amortissement 132 610
Améliorations locatives 339
Moins : amortissement 43 296
Total des actifs immobilisés 906
Total des actifs $5606
Passifs
Passifs courants :
Comptes exigibles $ 633
Effets à payer aux banques 675
Charges à payer 433
Impôt fédéral sur revenu 459
Total des passifs courants $2200
Dettes à long terne :
5% obligation due 2020 700
Capitaux propres (valeur nette)
Actions ordinaires ($1 par action) 612
Bénéfices non distribués 2094 2706
Total des passifs et capitaux propres $5606
Y. G., Inc. Compte Des Résultats pour l’année fiscale terminée le 31 Decembre 2006. (Les chiffres sont arrondis au dixième le plus proche)
Ventes Nettes 9995
Coût des marchandises vendues 6643
Marge brute 3352
Frais de vente :
Publicité 185
Transport 74
Salaires des vendeurs et commissions 442
Entretien 510
Total des frais de vente 1211
Recherche et développement 671
Dépenses administratives :
Salaires des directeurs 185
Frais généraux 342
Total des dépenses administratives 552
Dépenses d’intérêts 10
Revenu net avant taxes 908
Moins : taxes 459
Revenu net après taxes 449
Dividendes 61
Augmentation des bénéfices non distribués 348
French to English: Communication et Marketing General field: Marketing Detailed field: Business/Commerce (general)
Source text - French Au même titre que le produit, le prix ou la distribution, la communication constitue l’un des éléments fondamentaux de la stratégie marketing. Les principaux outils promotionnels – la publicité, la force de vente, la promotion des ventes, la publicité rédactionnelle et les relations publiques - ont à la fois des caractéristiques communes et des traits distinctifs, et leur coordination efficace suppose une définition précise des objectifs de communication.
En élaborant son programme promotionnel, le responsable marketing doit analyser les éléments de base d’une relation de communication : l’émetteur, le récepteur, le codage, le décodage, le message, les media, la réponse, le feedback et les bruits. La mise en scène du programme comporte elle-même huit étapes. Il faut d’abord identifier la cible et comprendre comment l’audience considère l’entreprise et traite l’information qu’elle reçoit. Il faut ensuite choisir le type de réponse qu’il désire obtenir ; une prise de conscience, une connaissance, un attrait, une préférence, une conviction ou un achat. Le message doit être élaboré tant dans son contenu que dans sa structure, son format et sa source. Puis, les media sont sélectionnés et repartis entre canaux interpersonnels et communications de masse. Le budget est alors fixé et réparti. Enfin l’émetteur doit contrôler l’impact de sa communication. De plus en plus d’entreprises coordonnent les différentes actions de communication de leurs services afin de bénéficier au près de leurs marchés-cibles d’un effort de cohérence et de synergie.
Translation - English When it comes to products, prices or distribution, communication constitutes one of the fundamental elements of marketing strategies. The main promotional tools – advertising, sales force, promotional sales, written advertising and public relations – have all common characteristics and distinctive traits and, their efficient coordination requires a precise definition of communication objectives.
In preparing a promotional campaign, the marketing manager must analyze the basic elements of a communication relationship: transmission, reception, coding, decoding, message, media, reactions, feedback and rumors. The programming configuration consists in itself eight phases. He must first identify the target, understand and interpret the information which he receives. He must then select the type of responses which he wants to obtain: awareness, familiarity, attraction, preference, trust or purchase. The message must be elaborated in as much as in its content, its structure, its format and its source. Then, the media are selected and distributed among interpersonal channels and mass communication. The budget is then established and allocated. Finally, the transmission channel must control the impact of its message. More and more enterprises coordinate the different communication strategies of their services in order to benefit through any effort of coherence and synergy from their target markets.
French to English: La Publicite General field: Marketing Detailed field: Business/Commerce (general)
Source text - French La publicité, que l’on peut définir comme toute forme de communication payante ayant pour objectif la promotion des produits ou des services d’une entreprise identifiée en tant qu’annonceur, est un outil commercial de toute première importance. Plus de 30 milliards de F sont dépenses chaque année en France sous de multiples formes (publicité nationale, régionale, locale ; publicité grand public, industrielle ; publicité de marque, publicité institutionnelle) pour servir de multiples objectifs (ventes immédiates, notoriété, image de marque, etc.).
Les décisions publicitaires s’articulent autour de cinq phases principales : la fixation des objectifs, la détermination budget, l’élaboration du message, le choix des media, et la mesure de l’efficacité de la campagne.
Les objectifs doivent être définis de façons claires sous forme de résultat à obtenir (connaissance, attitude, rappel) auprès de la cible choisie. Il existe quatre grandes façons de fixer un budget publicitaire. : la première consiste à le déterminer en fonction des sommes pouvant être consacrées à cette activité ; la seconde à appliquer un pourcentage fixe du chiffre d’affaires ; la troisième à s’aligner sur la concurrence ; la dernière, enfin, plus logique, à évaluer les dépenses nécessaires pour atteindre les objectifs de communication choisis. On peut également faire appel à des méthodes de simulation sur ordinateur. L’élaboration d’un message comporte plusieurs étapes depuis sa conception initiale jusqu'à son exécution. Les choix de media et de support ainsi que leur programmation dans le temps se font à partir de considérations liées à la couverture, à la fréquence et à l’impact souhaité. Enfin, un effort constant doit être entrepris pour mesurer l’efficacité des dépenses en termes de communication et en termes de vente, avant, pendant et après la diffusion du message.
Translation - English Advertisement, which can be defined like any paying type of communication having as objective the promotion of products and services for an enterprise being identified as an announcer, is a commercial tool of primary importance. More than 30 billions of Francs are allocated every year in France under different forms (national, regional, local; large scale, industrial; exclusive audience, institutional) to achieve multiple objectives (immediate sales, reputation, image building, etc.)
The advertising decisions are articulated around five main phases: determination of objectives, determination of budgets, preparation of message, choice of media, and measurement of campaign efficiency.
The objectives must be clearly defined in terms of achievable results (awareness, attitude, and reminder) in order to attain the chosen target. They are four ways to establish an advertisement budget: the first consists in fixing it depending on the probable amount allocated to that activity; the second one, to apply a fixed percentage of revenue; the third one, to align on the competition; the last one, which sounds more logical, to evaluate the sums needed to attain the chosen objectives in term of communication. One can also design simulations on computer. The elaboration of a message entails several phases from its initial conception till its execution. The choices of media and supports as well as their programming and timing are adopted depending on their coverage, their regularity and the desired impact. Finally, a constant effort must be exerted to measure the return on expenses in terms of communication and in terms of sales, before, during and after the diffusion of the message.
French to English: CHOOSING A PORTFOLIO STRATEGY THAT FITS YOUR STANCE General field: Bus/Financial Detailed field: Investment / Securities
Source text - French Many of the mistakes that people make in managing their investments result from acting haphazardly. The top priority in investing is to develop and follow a coherent, reasoned approach-an overall battle plan or portfolio strategy. The main steps are these: (1) select your investment objective, which will hinge on the degree of risk you are willing to assume: (2) decide on a timing policy; will you hold stocks for the long pull or try to anticipate swings in the market? (3) from time to time, evaluate the investment outlook-the prospects for the economy, individuals industries, and the stock and bond markets; (4) in the light of the investment outlook, decide on a portfolio ‘’mix’’ that fits your investment objective (the mix is the apportioning of your capital among different types of investments-stocks, corporate and municipal bonds, money market securities, precious metals and so on); (5) select the specific securities for your portfolio; (6) once a year, review your performance.
SETTING THE OBJECTIVE
Most people’s definition of their investment objective will correspond, more or less, to one of the following designations, which in principle imply descending level of risk: (1) maximum capital gains; (2) high growth with minimal concern for income; (3) average growth combined with income (for example, the growth and dividend yield of the S&P index); (4) income with some growth, but with the emphasis mainly on income; (5) the highest possible income compatible with safety of principal.
An investor’s objective reflects the degree of risk he is willing to assume. And that-as you have probably heard all too often-should be determined by age, family situation, current and prospective earning power, net worth, tax bracket, and temperament. A single person of thirty with excellent career prospects and expectations of a sizable inheritance can obviously take much larger risks than a middle-aged couple with young children, moderate earning power, and no hopes of inheriting a nest egg. It’s obvious, too, that retired persons living on a modest pension and income from their savings must keep their exposure to risk low. What the homilies about risk-taking usually fail to mention is that it’s as foolish not to take risks that you can reasonably afford as it is to run risks that you cannot afford. In the long run, taking above average risks should bring larger than average rewards.
Risk can be measured, not with certainty but in terms of probabilities. And risk can be ‘’managed’’.
Translation - English L’erreur commise par les investisseurs en plaçant leur argent est de prendre des décisions non conformes. Le point prioritaire en investissement est d’adopter et de suivre un comportement cohérent, une approche raisonnable-un plan de bataille général ou une stratégie d’investissement. Les principales étapes sont : (1) déterminez votre objectif d’investissement, lequel indiquera le degré de risque que vous êtes prêt à prendre : (2) décidez de la notion de temps : allez-vous garder les actions sur le long terme ou allez-vous observer les mouvements du marché ? (3) de temps a autres, évaluez les tendances du marché-les perspectives économiques, les entreprises individuelles, et les marchés d’actions et d’obligations ; (4) dépendant de l’allure des investissements, décidez de l’investissement ‘’mix’’ qui convient à votre objectif d’investissement (le mix est la proportion de votre capital en différents types d’investissement-actions, obligations de corporations et de municipalités, marchés monétaires, métaux précieux, ainsi de suite) ; (6) une fois l’an, révisez votre performance.
ETABLIR L’OBJECTIF
Pour la plus part des gens, la définition de l’objectif correspondra, plus ou moins, à l’une des désignations suivantes, laquelle en principe implique les risques suivants par ordre descendant de risques : (1) maximiser le gain en capital ; (2) grande croissance avec peu de souci pour les revenus ; (3) une combinaison moyenne de croissance et de revenus ( par exemple, la croissance et les rendement de dividendes de l’index S&P) ; (5) la plus grande croissance possible en conformité avec la garantie du capital.
L’objectif de l’investisseur implique le degré de risque qu’il est prêt à assumer. Ceci, comme vous l’avez probablement souvent entendu-devrait être déterminé par l’âge, la situation familiale, la capacité de gains actuelle et future, avoir net, catégorie fiscale et tempérament. Un célibataire de trente ans ayant une excellente perspective de carrière et la possibilité de recevoir un héritage important, peut vouloir prendre un plus grand risque qu’un couple d’âge moyen avec enfants, revenu modéré et sans aucun héritage en vue. Il est clair, que les personnes retraitées qui vivent d’une pension modeste et de revenus dérivés de leurs économies, doivent observer beaucoup de prudence. Ce que les théories sur les prises de risques omettent de dire est qu’il est aussi insensé de ne pas prendre de risques qu’on peut supporter raisonnablement que de prendre des risques qu’on ne peut pas supporter raisonnablement. A la longue, prendre des risques plus élevés que la moyenne devrait rapporter des gains plus élevés que la moyenne.
On peut mesurer les risques, non pas avec certitude mais en termes de probabilité. Les risques peuvent être ‘’gérés’’.
French to English: INFORMATION FOR INVESTMENT DECISIONS General field: Bus/Financial Detailed field: Investment / Securities
Source text - French Information is the raw material out of which investment decisions are shaped, and the individual investor usually gets too little of it. Two kinds of information are indispensable-background information that provides you with a frame of reference for your investment decisions, and up-to-date information about the general economy, the major industries, and individual companies. Much of the background information that you are likely to need is provided in this book. How much current information do you require-and how much you should spend on it-depend of course on your financial situation, your investment objectives, and the extent to which you want to be your own investment manager. An aggressive do-it-yourself investor who is hunting for neglected, undervalued stocks obviously needs more sources of information than a conservative investor whose goal is high income. Keep in mind that unfocused, intermittent perusal of a welter of investment publications is more likely to create confusion than to bring enlightenment. Your information-gathering should be concentrated on sources closely related to your individual requirements.
A great deal of investment information is available free of charges-far more than most people realize. It includes brokerage-house research, company annual reports, and economics and financial publications issued by some of the leading banks.
Getting research material should be no problem for investors who do business regularly with a broker. A broker who gives good service will be pleased to send you reports on the types of investment in which you are particularly interested, and he can usually get his firm to put you on some of its ‘’retail’’ research.
Translation - English L’information est la matière première à la base de toutes les décisions d’investissement et, habituellement, l’investisseur individuel en obtient très peu. Il y a deux types d’information qui sont indispensables-l’information générale qui sert de cadre de référence pour vos décisions d’investissement et, une information actualisée au sujet de l’économie en général. La plupart des informations nécessaires vous sont fournies dans ce livre. Quelle quantité d’informations vous est nécessaire-et combien vous coute elle-dépend évidemment de votre situation financière, de votre objectif d’investissement et, dans quelle mesure vous voulez être votre propre gestionnaire en placement. Un investisseur autonome et agressif qui est à la recherche d’actions négligeables et sous estimées a besoin évidemment davantage de sources d’information qu’un investisseur conservateur dont le but est d’obtenir un niveau élevé de revenue. Il faut se rappeler que des bulletins de publications légères, sans spécialisation et occasionnelles, sont plus susceptibles de causer des confusions plutôt que de clarifier. Vos sources d’information devraient se concentrer sur des sources plus appropriées à vos besoins.
Beaucoup information sur les investissements sont disponibles gratuitement et davantage que les gens pensent. Il faut signaler les recherches des maisons de courtage, les rapports annuels des sociétés et, les publications économiques et financières émises par les grandes banques.
Obtenir du matériel de recherche ne devrait constituer aucun problème pour les investisseurs qui travaillent régulièrement avec une maison de courtage. Un courtier qui fournit de bons services sera heureux de vous expédier des rapports sur les types de placement qui vous intéressent particulièrement et, peut vous ajouter à la liste des abonnés de recherche pour ‘’détaillants’’.
French to English: OBSERVATIONS ON A COMPANY'S FINANCIAL CONDITION General field: Bus/Financial Detailed field: Accounting
Source text - French Referring again to the comparative balance sheet form of the Rugby Hosiery Manufacturing Company (Exhibit B-4), consider the comparative ratios and endeavor to reach a final conclusion regarding this company. A study of the current ratio shows that at December 31, 19X9, the company had only $1.53 of current assets for each $1 of current liabilities, a much less satisfactory relationship than was reflected at December 31, 19X5. At December 19XX total debt was equal to 88 percent of net worth, a higher relationship than at any time in the six-year period. The sales to receivables ratio was decidedly better than at December 3, 19X9 and somewhat better than in any prior year, indicating improved collection experience. The sales to merchandise ratio was much less satisfactory than it was at December 31, 19X5, although not as unfavorable as in some intervening periods. As we learned from the trend percentage study and confirmed by the trading assets ratios, the current assets were less liquid at December 19XX than at December 31, 19X5. The profits to worth ratio for 19XX were much better than that shown in any one year. One can summarize a study of this company’s statement as follows:
1. The company’s operating record has been good but not outstanding. Net sales have risen consistently; gross profit has not kept pace with sales but has been generally satisfactory; expenses have been kept down remarkably well; and net profit of a fair amount has been shown in each successive year, with a good net profit shown in the last year.
2. Net worth and working capital have not grown in proportion with sales.
3. The larger volume of sales, slower turnover of inventory, and proportionately larger fixed assets have brought about a heavier debt, which is covered by relatively less liquid current assets.
4. All in all, while the trend of the company’s condition has been toward declining liquidity caused by the increasing and only moderately profitable volume and by larger fixed assets, it appears that creditors are safe. Approximately 60 percent of debt is covered by cash and receivables, leaving only 40 percent of debt dependant on inventory and on unencumbered fixed assets. In view of the volume and liquidity trends, the account should be supervised closely, although the credit risk presently appears to be reasonably safe.
Translation - English Se basant à nouveau sur le tableau de comparaison des bilans de la Rugby Hosiery Manufacturing Company (Tableau B-4), on peut considérer les ratios comparatifs et les analyser afin d’arriver à une conclusion finale concernant la compagnie. Une étude du ratio actuel montre qu’à la date du 31 Décembre 19X9, la compagnie avait seulement $1.53 d’actif courant pour chaque $1 de dette courante, un rapport bien moins satisfaisant était enregistré au 31 Décembre 19X5. Au 31 Décembre 19XX, la dette totale était égale à 88 pourcent des avoirs nets, un meilleur rapport qu’aucune autre période au cours des six années. Le ratio ventes sur comptes débiteurs était définitivement mieux qu’au 31 Décembre 19X9 et même mieux qu’aucune année précédente, indiquant une amélioration dans la pratique de collection. Le ratio ventes sur marchandises était beaucoup moins satisfaisante qu’il l’était au 31 Décembre 19X5, quoique pas aussi défavorable que dans certaines périodes intermédiaires. Comme nous l’avons appris dans l’étude du pourcentage des tendances et confirmé par les ratios des actifs négociables, les actifs courants étaient moins liquides au 31 Décembre 19XX qu’au 31 Décembre 19X5. Le ratio profits sur avoirs nets pour 19XX était beaucoup mieux que toute autre année. On peut résumer l’étude des états financiers de la compagnie comme suit :
1. Le cours des opérations de la compagnie a été bonne mais non remarquable. Les ventes nettes ont accru régulièrement ; le profit brut n’a pas suivi les ventes mais a été généralement satisfaisant ; les dépenses ont été bien maintenues à la baisse d’une façon remarquable ; un profit net d’un montant acceptable a été enregistré chaque année, et, un bon profit net pour la dernière année.
2. Les avoirs nets et le fond de roulement n’ont pas augmenté en proportion avec les ventes.
3. Un plus grand volume de ventes, un roulement lent de l’inventaire et, proportionnellement, d’avantage d’actifs immobilises ont occasionné une plus lourde dette laquelle est couverte des actifs courants peu liquides.
4. En général, quoique la tendance des conditions de la compagnie ait affiché une détérioration de sa liquidité causée par une augmentation assez modérée du volume des profits et par davantage d’actifs immobilisés, il parait que les créanciers sont sécurisés. Approximativement, 60 pourcent de la dette est garanti par du cash et par les comptes débiteurs, laissant seulement 40 pourcent de la dette dépendant de l’inventaire et des actifs fixes disponibles. Tenant compte de la tendance pour le volume et la liquidité, le compte devrait être supervisé étroitement, quoique l’actuel risque de crédit semble offrir une garantie raisonnable.
French to English: STOCK STRATEGIES TO BEAT THE MARKET General field: Bus/Financial Detailed field: Investment / Securities
Source text - French Most if not all the mutual funds managers and investment advisers who have dazzling performance records owe their success to astute stock selection rather than to brilliant market timing. Each of these super pros has his own distinctive investment style. But their methods in most cases are based on one of four basics approaches to stock selection: (1) the asset-oriented, or Benjamin Graham, approach, whose progenitor was the founder of modern security analysis, (2) the ’’contrarian’’ strategy, which consists of buying unpopular stocks with low price/earnings ratios, (3) the ‘’emerging growth company’’ approach, which surfaced in the early 1960s, though it had been pioneered more than two decades earlier by the great mutual fund manager T. Rowe Price, (4) the ’’wonderful business’’ approach, which John Train, in his admirable book The Money Masters, associates with the fabulously successful money manager Warren Buffet. A fifth strategy available to individuals might be called “the discount store approach”: you invest in close-end common- stock mutual funds, whose shares normally sell at appreciable discounts from their asset value. Each of these strategies has its special merits and its drawbacks. And I see no reason why an investor trying to beat the market should limit himself to one method of stock selection.
Translation - English Les Stratégies pour Gagner sur le Marché
La plupart des gestionnaires de fonds mutuels, ainsi que des conseillers d’investissement, pour ne pas dire eux tous, qui ont des performances records doivent leur succès à une sélection intelligente de stocks plutôt qu’à un timing parfait. Chacun de ces supers professionnels développe son propre style d’investissement. Cependant, la méthode, dans la plus part des cas s’appuie sur l’une des quatre approches de base de sélection de stock suivantes: (1) l’orientation de l’actif, ou l’approche de Benjamin Graham dont la progéniture fut le fondateur de l’analyse moderne des titres, (2) la stratégie du ‘’contre-courant’’, qui consiste à acheter des actions présentant des ratios prix/revenu bas, (3) l’approche de la ‘’nouvelle société en croissance’’, qui a fait surface au début des années 1960, bien qu’elle ait été introduite plus de deux décennies plutôt par le grand gestionnaire de fonds mutuels T. Rowe Price, (4) l’approche ‘’affaire merveilleuse’’, laquelle John Train, dans son livre intitulé Les Maitres de l’Argent, s’associe avec le fameux gestionnaire de portefeuille, couronné de succès, Warren Buffet. Une cinquième approche à la portée de tout le monde pourrait s’appeler l’approche ‘’magasin de rabais’’: on investit dans des actions ordinaires de fonds mutuels au capital limité. Chacune de ces stratégies offre des avantages spéciaux et des désavantages. Et, je ne vois pas pourquoi, l’investisseur intéressé à gagner sur le marché, devrait se limiter à une seule méthode de sélection.
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